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Sylvain et Valentin, à la Vollée

Il traînait dans les vestiaires une drôle d’ambiance. Pas une ambiance de sport …


C’était la Cinquième défaite d’affilé et personne ne savait comment réagir. Valentin savait qu’ils avaient touché le fond. Et la dernière place du championnat leur tendait les bras. Recouvert de la serviette éponge, il pensait aux joies que lui avait procuré ce sport et réalisait comme les choses tournaient vite. Les gars dans les douches s’amusaient toujours à pince-fesses et lui attendait que ceux-ci en sortent. Non pas que ceux-ci n’étaient pas des potes, ni même que ça ne le tente pas de jouer avec eux mais il savait trop bien quelle réaction ça pouvait lui provoquer de jouer ainsi avec ses jeunes partenaires, de jeunes éphèbes. Ça pouvait déraper et il aurait du mal à contenir sa "demi-molle"et de fil en fil son érection tout court. La sève monte vite…même les soirs de défaite. Et il ne s’était pas ouvertement déclaré homo à tout le monde.


Ça finirait par ce savoir parce qu’il avait déjà rencontré un gars de l’équipe B au sauna. Il n’avait pas été surpris d’ailleurs et ils avaient discuté ensemble ce jour là avant de se frotter de façon plus intime. Et puis, il le revoyait de temps en temps chez lui. La tenue de volley, le tee-shirt prés du corps et le petit short qui moule le cul et le paquet, il aimait bien aussi. Quelquefois il le revêtait par-dessus sa couche bien souvent.

Ça lui cambrait le cul et plaquait la couche tout contre lui. Il se couchait alors, levait les jambes et se laissait aller dedans. Le liquide diffusait. Il était chaud et ça le mettait en émoi… devant la glace il se palpait à ne plus pouvoir se contenir. Il se trémoussait et finissait pas jouir dans la couche comme ça. Mais de ces jeux là, il n’en avait jamais encore parlé à quiconque …


Il y pensait, là, sous la serviette parce que ce mec de l’équipe adverse, ce black l’avait fixé tout le match et lui avait fixé son entrejambe tellement qu’il n’en avait oublié le ballon et cela leur avait coûté le premier set…Ensuite celui-ci est sorti sur blessure et son esprit retrouva plus de concentration. Mais le collectif n'avait rien pu faire. Peut être les autres étaient ils aussi troublés par les entrejambes de l’équipe d’en face….



Les gars revenaient avec leur serviette autour de la taille. Maxime et Félicien étaient encore hilares. Pierre, Jean et Saïd eux devaient vite filer pour ne pas rater le dernier tram pour l’université. Valentin avait donc la voie libre.

Il traversa donc le sas et rentra dans les douches. Il s’isola dans une des cabines isolées par un mur carrelé pour laisser couler la douche sur lui. L’eau mouillait son short et il se retrouvait poutre apparente rapidement mais seul lui pouvait le voir. La sensation était celui d’un slip chaud… comme si il s’était mouillé…Le savon ensuite sur le corps puis dans le slip permettait de laver le tout. Avant de se coucher il aurait juste à laisser sécher le short et le tee-shirt sur le radiateur et demain il pourrait de nouveau les utiliser…Demain c’était l’entraînement et l’analyse de l’échec...


Soudain il entendit chanter. Une voix de l’autre coté dans le vestiaire voisin chez les adversaires du jour. Ils devraient être partis comme les autres… il jeta un œil par le trou à travers la cloison et ne put voir qu’une jambe furtivement. Le mec rentré dans le vestiaire. De l’autre coté aussi il y avait un trou c’était l’observatoire d’avant match. Il fallait qu’il observe après et si son vestiaire était vide il le ferait. Le mec chantait bien et il adorait cet air de Beyoncé.

Encore mouillé et même savonneux il rentra dans son vestiaire. Maxime terminait de fermer son sac et lui jeta juste avant de partir « tu penses à fermer les vestiaires et ramener les clés aux gardiens… ?! »


Il se collait sur la paroi … par intermittence il voyait la chevelure du gars. C’était son black, il remettait ses looks en place. Il avait le visage fin le nez aquilin, un regard de biche.

Il parla … « ça me fait mal quand même. Faudrait peut être que je fasse voir ça au toubib ». un mec juste en dessous lui mais qu’il ne voyait pas, répondait, donnait son avis… le black s’approchait pour faire voir sa blessure. Une cheville qui était visiblement enflée… « ça va être chaud dans le bus , ils auraient pu appeler un taxi ambulance…» disait l’autre.

Valentin restait à mater la scène le black avait un petit cul moulé dans un boxer blanc et montrait tout son galbe fessier à la faveur d’une cheville douloureuse sur laquelle il se penchait. Sa respiration s’accélérait, son sexe tirait sur la serviette et sa main l’en dégageait.


« Jeunes hommes, je vais fermer les vestiaires… » il eut juste le temps de se décoller de la paroi, de faire une virevolte et de dissimuler son émoi. Le gardien venait de rentrer dans le vestiaire… « Dépêche toi Valentin, ce soir j’ai promis à ma femme de l’emmener dîner chez sa mère »


« T’inquiète Gaétan, je m’active moi aussi j’ai une soirée prévue ». Il ramassa ses affaires et enfila son slip, son jean.


Gaétan était passé dans le vestiaire à coté pour les activer eux aussi. Il engagea la conversation constatant que le mec avait une cheville gonflée. Il entendait le dialogue et Gaétan auscultait la cheville, proposa de mettre du Voltarene là dessus et de strapper…


Le gars avait à priori déjà ce qu’il fallait. Alors Gaetan ressorti du vestiaire en disant qu’il avait peut être une solution. Valentin était presque prêt et enfiler ses baskets lorsque lorsque Gaétan entra de nouveau et lui demanda si ça l’ennuyait de faire un détour par St pierre-des-Corps pour déposer les 2 mecs du camp adverse dont celui qui s’était blessé. Lui n’avait pas le temps.

« Euh.. bien sur ! enfin bien sur que non ça me dérange pas... » Il finit de lacer ses chaussures et se leva. Il était de ce fait autorisé à entrer dans l’autre vestiaire… le black était toujours en slip et enfilait son bas de jogging Adidas noir difficilement.


L’autre gars s’était l’entraîneur. Il lui adressa la parole « ça te dérange pas de le reconduire chez lui ? Moi je dois filer sur Poitiers ce soir puis changeant de regard « ..et toi Sylvain, tu reposes ta cheville ce soir, tu ne vas pas faire le con ! Demain je passe prendre de tes nouvelles et s’il faut je t’emmène à la radio. »

Il se leva et se dirigea vers lui. Il le strappa avec une bande qu’il avait atteint de son sac et l’aida à mettre ses baskets. Gaétan observait la scène avec moi sans rien dire mais son impatience se manifestait par le trousseau de clés qu’il agitait et don le bruit se répercutait en écho dans les vestiaires vides.

Sylvain, c’était son prénom, enfin se leva et s’appuya sur le dos de son entraîneur. Nous sortions du gymnase et Gaétan ferma dernière nous. Il nous souhaita bonne soirée et fila…


Arrivé à la voiture je m’aperçu que j’avais laissé en évidence le paquet de Tena au pied du siège passager sous mon blouson.


J’ouvrais la porte et dégageais au plus vite la chose sur la banquette arrière. Et Sylvain s’installa. Son entraîneur nous laissa « bon a demain… tu as entendu fais pas le con ! »


Je fis le tour de ma Fiesta pour prendre place. Et la il m’adressa pour la première fois la parole « merci mec c’est sympa de me ramener malgré la branlée qu’on vous a mis… » Puis avant même que je mette le contact « Tu as un gosse ? C’est quoi ce paquet de couches ? »


J’étais décontenancé et je ne répondais pas. Il reprit « y a les mêmes chez moi, je crois ». Alors je repris ma respiration lançait le moteur et répondait « bah si tu as les même chez toi tu dois savoir que ce n’est pas exactement pour les gosses.. ; et puis je ne suis pas en situation d’en avoir.. »


Je sortais du parking du Sanitas et sentais le regard de Sylvain sur ma nuque glisser sur lui et s’arrêter entre ses jambes au premier feu tricolore auquel il s’arrêta. Sylvain posa la main sur la cuisse de Valentin et remonta. Valentin l’arrêta avec sa main se tourna vers lui et lui répondit enfin « des gosses ! …à 22 ans j’ai, le temps de voir non ? ». Valentin repris le levier de vitesse pour redémarrer au Feu Vert. Cela laissait de nouveau liberté à Sylvain. « ça ne me dit pas ce que tu fais avec les couches de ma grand-mère dans ta voiture… » et il remonta d’un cran sa main comme s’il cherchait visiblement à savoir si Valentin portait une de ces couches..


« Arrête ça… lui dit il à hauteur du pont du cher. La voiture slaloma ce qui fit lâcher prise à Sylvain. Il avait eu loisir de contrôler que le slip de Valentin n’était pas rembourré mais néanmoins il était bien rempli. Son membre était dur. « Waou, c’est chaud on dirait que ça te fait de l’effet… » . Valentin s’arrêta de nouveau au feu tricolore suivant. Sylvain se pencha sur sa cheville puis se redressa. Excuse mec, j’aime bien cerner avec qui je suis.


Et la Valentin sentit son cœur battre la chamade. Sans retenu il annonça « Comme ça tu sais, je bande sans discontinuer depuis que je t’ai vu dans ton boxer blanc… et j’aime porter des couches depuis toujours »


Sylvain restait sans voix. « Tu veux dire que tu es pédé…. Et que t’aime te pisser dessus comme un gamin ? »


Non je veux dire que tu me plais bien, que je comprends que tu en aies rien à foutre et que tu te suffises de pavaner parce que ton équipe a battu la mienne en Trois set secs. Moi le seul contrat que j’ai passé avec ton entraîneur et le gardien du gymnase c’est de te raccompagner chez toi parce que je ne me sentais pas la possibilité de refuser. Maintenant je te dépose et on peut en rester là et tu peux oublier ce que je viens de te dire » et il mit son clignotant en direction de st pierre des corps –gare.


100m.. puis 200 m les feux se mettaient au vert devant eux dans le silence le plus total. Le moteur montrait que Valentin était nerveux. Sylvain fit quelques bruits avec sa bouche avant que la voiture ralentisse. « Bon on va ou ? Dis-moi ou tu crèches. »


Sylvain resta muet et remit sa main sur le jean de Valentin. Le sexe était toujours bien présent. « Tu as une gueule d’ange et j’ai pas envie de rentrer sans t’avoir remercié. On se boit un truc au troquet ? » Valentin n’avait pas le temps, il était attendu par des potes aussi. « Avec ta cheville, je ne vois pas ce que tu ferais là-bas. Allez indiques moi où je te dépose. » Mais Sylvain refusa de lui indiquer le chemin « laisse moi en ville, je vais me démerder. Tu m’as aguiché et tu n’assumes pas… Ecoute les mecs ce n’est pas mon truc mais là tes trucs ça me fait bander à mon tour » Sylvain fit observé le relief de son survêt et sa queue était bien dressée »


Valentin se reprit. C’était trop fort. « Bah, on peut pas voir ça chez toi ? »

Sylvain « ça va pas, je suis dans une résidence de jeunes travailleurs et je partage ma piaule habituellement… »

Valentin « ah… et chez moi, il y a deux étages à monter…tu vois c’est mort »

Sylvain « on peut se palucher dans la voiture si tu veux. Gare toi. »

Valentin « Je connais un endroit ou j’ai quelques habitudes mais c’est en bord de Loire. »

Sylvain « Go mec. Autant pas traîner ici de toute façon c’est mon quartier et je préfère être discret.


Sur le chemin Sylvain recommencer les va et vient sur le jean de Valentin et se touchait la queue à travers son survêt.


Valentin « Te fait pas jouir tout de suite ! »

Sylvain « t’inquiète mec, de toute façon j’ai trop envie de pisser. C’est con …J’aurais bien essayé tes couches… »

Valentin rigolait…

Sylvain « c’est vrai que tu les mets ? C’est pour toi ou tu me charries… »

Valentin se détendait et il expliqua son incontinence tardive c’est premier émoi d’ado avec les couches de son frère qui lui aussi pissait au lit tard… La voiture arrêtée Sylvain écoutait les explications de Valentin depuis 3 bonnes minutes bouche bée.


Ils étaient face à la Loire. Des voitures tournaient devant eux. Les yeux dans le vague, valentin parlait et fantasmait ouvertement puis ponctua « ça fait trois fois que cette voiture passe devant nous et fait des appels avec ses feux arrières. C’est une invitation à le suivre… il sourit et se retourna sur le visage de Sylvain qu’il trouvait bien silencieux. »



Valentin « Bon on fait quoi ?.. »

Sylvain « Tu veux le suivre ? »

Valentin « Non mais si on bouge il va nous suivre et je crois que faut attendre encore un peu. »

Sylvain « Attends moi je peux plus. Ou on sort pour que je pisse ou tu me passes une couche… » Et il ricana.

Valentin « Bon on va essayer. »

Sylvain attend je déconne, va pas trop loin je veux bien qu’on se touche mais la …


Valentin tu peux attendre 3 minutes. On va aller chez moi. J’ai un ascenseur en fait et il démarra la voiture. Il prit la route en sens inverse en direction de la site universitaire au sud de tours à coté de laquelle il habitait. Sur la route il appela ses potes pour ne pas qu’ils attendent. Il ne sortirait pas avec eux au Pim’s ce jeudi. De toute façon la soirée infirmière ce n’était pas son truc. Il prétexta avoir du remonter sur Rouen parce que il y a avait eu un problème dans sa famille. Il serait de retour Lundi. Il se gara au pied de son immeuble. Puis considère de nouveau son adversaire de Volley. Un mec finalement très « open ». « Attend je vais ouvrir la porte et t’aider à sortir. »


Euh, mec, écoute ça va pas le faire, je me suis pisser dessus sur le trajet.

Valentin fut surpris et s’inquiéta pour les fauteuils de la voiture. Il avait déjà eu des fuites en conduisant en couche sur de longs trajets. « tu déconnes ? » « Non, avec toutes ces histoires et ta conduite, j’ai pas tenu. En même temps je me vois pas rentrer comme ça chez moi. »


Valentin ne lâcha pas prise. « Bon écoutes, on va voir ça la haut » il sortit, fit le tour de la voiture et servit de mulet à son ami jusqu’à l’ascenseur. Sylvain était poisseux mais son cul ferme se dessinait sous je jogging humide. Dans l’ascenseur, Sylvain avait les larmes aux yeux. Est-ce d’avoir mal à la cheville ou de se retrouver pisseux. Valentin ne le savait pas.


Il ouvrit la porte de son appart. Et indiqua la salle de bain. Ou Sylvain s’assit sur le tabouret. Il ferma la porte et revint auprès de Sylvain. Il l’aida à se débarrasser de son jogging. Le boxer blanc était jaune, chaud et Sylvain était poutre apparente. Tu aurais du me passer une couche finalement….


Valentin : « Bon tu vas prendre une douche et je vais te passer de quoi te changer… »



Sylvain : « Non attends, tu ne vas pas me laisser comme ça maintenant ». Et il indiqua le point précis ou son gland se voyait par transparence. La turgescence de son membre montrait que la situation l’excitait plus que ne l’espérait Valentin.

Valentin : « Mais tu es plein de pisse »

Sylvain : « et alors la pisse d’un black te dérange ? elle sent pas plus fort que la tienne. »

Valentin « … je t’arrête tout de suite je ne suis pas raciste et c’était pour te mettre à l’aise… »

Sylvain « .. Viens là ! » Il s’appuya sur sa jambe valide et glissa son boxer libérant son membre humide. Valentin se mit à genoux pour tirer sur le sous vêtement immaculé et le jetta dans le lavabo. Sylvain attrapa la tête de valentin et lui fit approcher son sexe. Valentin après quelques coup de langue, le goba et glissa sur son membre.


Sylvain lui plaquait le visage sur son pubis et lui faisait glisser son membre jusqu'à la racine. Valentin eut besoin de se dégager parce qu’il s’étouffait et avait touché sa luette au fond de la gorge. Sylvain le laissa une demi seconde reprendre son souffle et voulu de nouveau sentir la bouche de Valentin autour de son chibre. Sylvain éprouva le besoin de lever les jambes et de s’appuyer le dos contre le meuble de la salle de bain. Il renversa les produits de douche. Valentin passa la main sur les bourses de Sylvain puis un doigt à la naissance de ses fesses précisément sur l’anus il sentit une contraction. Sylvain eut le temps de dire « non ! » mais la pression que Valentin exerça était synchrone avec la première giclée de l’élixir onctueux que produisit Sylvain. Le membre jaillit de la bouche. Valentin essaya de le rattraper mais reçu les deux ou trois autres giclées sur le visage. Quant à lui, il n’avait pas jouit. Il reprit son souffle.


Sylvain était essoufflé et Valentin repris un peu d’oxygène assis au pied de sylvain qui se redressait. Un instant il avait oublié sa cheville mais elle se rappela à lui. De façon synchrone ils se demandèrent « Ca va ? » ça les fit rire.

Sylvain tenta d’expliquer que il ne pensait pas pouvoir « jouir du cul » et valentin répliqua « on pense tous ça au début et particulièrement je ne te crois pas… »

Sylvain « j’aime trop le cul des femmes pour aimer qu’on touche mes fesses. Encore moins qu’on s’y glisse »

Valentin « j’adore ton cul. Il était mignon dans son boxer. Ça ne t’interdit pas de toucher le mien ! C’est n’importe quoi ce que tu dis. On a plusieurs zone de plaisir c’est tout.» Bon passe dans la baignoire et prend une douche. Je vais chercher une bière et on continuera la discussion après ça. »


Ouais bah pour ça, j’aurais besoin d’un coup de main. Il aida donc sylvain à grimper dans la baignoire et avant de tirer le rideau la tête de sylvain dépassait du miroir en face et on ne voyait que son corps de profil. Sans sa tête et sa moustache naissante. Valentin ajouta « regarde toi, là qu’est ce que tu vois ? Moi je vois le plus beau cul de la région et vu ta pilosité de ¾ comme ça je ne sais pas si t’es bon ou t’es bonne mais regarde j’en bande encore. Il referma le rideau et laissa son ami avec le pommeau de douche dans les mains.


Valentin alla se cherche une bière et en pris une pour Sylvain. Il tira sur son sexe puis se ravisa de trop le manipuler. Il avait bon espoir de le faire encore fonctionner dans la soirée.


Sylvain l’appela pour sortir et lui demanda une serviette. En s’essuyant il regarda Valentin boire sa bière et lui posa une première question « Tu avais espoir de me niquer ? »

Valentin manqua de s’étouffer. « Après tout pourquoi pas ? On dit que c’est pas évident la première fois et c’est vrai mais une fois qu’on y goûte je t’assure que c’est bon »

Sylvain « bah peut être pour toi mais moi je ne vois pas ça comme ça… »

Valentin « j’ai l’impression que tu as été sensible à mon doigté… et que un coup de langue sur ton anus t’aurait ravi… »

Sylvain « arrête tes conneries je ne suis pas une fiotte, je t’ai remercié comme tu l’as voulu maintenant en parlons plus.»

Valentin ne se laissa pas démonté « pardon ? Moi je n’ai pas joui y a que toi qui a eu la totalité du plaisir. Bon vient la on va continuer à discuter dans la pièce d’à coté … » Il amena son ami la serviette autour de la taille jusque sur le clic clac. Et lui servi sa bière.


Un silence s’installa.


Sylvain repris « du coup tu as même pas remonté ton paquet de couches »

Valentin « bah non. Ce n’est pas grave je les remonterai après t’avoir raccompagné… »

Sylvain « c’est dommage j’aurais bien voulu te voir la dedans. J’aurais même pu essayer… »

Valentin « qu’a cela ne tienne, j’en ai pleins déjà de différentes marques sous le clic clac. Lève-toi. Il faut battre le fer quant il est chaud.

Sylvain ne s’attendait pas a cette réponse, il sentait qu’il allait devoir assumer ou moins ça. La serviette tomba lorsqu’il se leva pour basculer le clic clac et il découvrit le stock de couche de Valentin. Il avait même un body et de pyjama avec pied. « C’est le délire man »


Valentin « tu as tort tout ça, ça tient chaud et c’est bon de rester le soir comme ça en couche et grenouillère en étudiant »

Sylvain « mais mec tu as plus l’âge de tout ça… tu joues à des jeux de grand là. Tu viens de me sucer la teub et tu as du poils sur les cuisses »

« Et alors ? »

Il saisit quelques couches et rabattant de canapé « Toi en couche tu peux très bien faire un beau gamin et y prendre du plaisir. Je t’assures » Laisse-moi jouer le rôle de daddy. De toute façon avec ta cheville en vrac tu es en situation de faiblesse. Laisse-moi d’abord m’occuper d’elle.


Du Voltaréne et une bande, j’ai ça aussi et pour le strapping comme pour le reste j’ai la main experte. Il banda donc la cheville de Sylvain après l’avoir massé avec sa crémé anti inflammatoire « tu verras demain si y’a pas du mieux, il faudra penser à une radio de contrôle »


Maintenant ma récompense c’est ton châtiment… ou l’inverse.


Il pousse alors Sylvain en arrière et saisi le change complet. Retire la serviette et dévoile des attributs hésitants. Sylvain eut pour réflexe de mettre les mains sur son sexe qui était en lévitation hésitante. Valentin lui ôta les mains et poursuivi l’opération qu il avait initié. Il ouvrit le change patiemment et le présenta sous le derrière de l’autre « lèves les fesses… lèves les fesses je te dis »


Sylvain s’exécutait comme par miracle à la deuxième semonce. Valentin positionna le change et sylvain fermait les yeux le temps que celui-ci ne l’emmaillote à droite à gauche puis ne fixe les attaches du change qui confinait un sexe de nouveau dressé mais que valentin avait eu le temps de réorienté vers le bas pour confiné celui-ci. Il tentait de se redressait ce qui fit ouvrit les yeux à Sylvain. Valentin le dissuada de le manipuler « il va trouver sa place et se frottait la couche ainsi est délicieux, je le sais ». Il remis le jooging de Sylvain pour ne pas plus le troubler plus encore.


Les massages devaient l’apaiser ou bien était-ce l’alcool qui le rendait moins farouche. Sylvain se décontractait et Valentin continua son massage en étendant la zone à la jambe entière puis à l’autre. Il décida de se mettre en couche lui aussi. Il se changea debout face à Sylvain en s’appuyant contre le mur. Sylvain commenta d’abord sur l’anatomie de valentin, moins généreuse que la sienne mais conclue t-il sans doute suffisante puis sur son expertise du change rapide et efficace. Valentin mis lui aussi un short de sport par-dessus son change.


Par la suite Valentin se leva plusieurs fois pour aller chercher un baume chauffant de massage, un coussin rectangulaire, un autre paquet de cigarette, un paquet de chewing-gum… à chaque fois il revenait avec une bière et continuaient les leçons d’anatomie appliquée. Sylvain se taisait, comme dans un état second, il semblait fixer son attention sur le spectacle de Valentin en couche et sa propre sensation d’être en couche lui aussi. Son mutisme ne dérangeait pas Valentin qui voyait là un répétiteur de ses leçons d’anatomie qui lui paraissaient d’habitude fastidieuses.


A un moment donné, Sylvain croisa de nouveau le regard avec son complice. C’était certes un adversaire honteux et lui blessé mais c’était devenu une distraction, un lâcher prise qui lui faisait oublier la douleur de sa cheville. Le regard vague et brillant déclencha un rictus à Valentin. Il ressemblait un peu au regard dans la voiture au moment de leur arrivée. Et il comprit qu’il avait gagné son pari. Sylvain ne voulait pas l’avouer et sans doute n’osait il rien dire espérant que Valentin annonce le premier l’inondation de son lange. Valentin se dirigea au panache vers le visage de Sylvain et lui embrassa la joue pour lui signifiait qu’il avait compris Après cela il baissa son jogging. Sa couche moulait son fessier et son membre parfaitement placé dedans. La couche n’était pas sèche. Sylvain balbutia « attends,… » et Valentin lui coupa la parole « Je n’ai jamais violé personne et je ne pense pas le faire un jour. Surtout pas un handicapé. Je te propose juste de te changer, laisse toi faire » Sylvain recula sur le clic clac lorsque Valentin s’approcha de nouveau pour retirer le survêt de son ami. Sylvain détourna un instant le regard mais finalement leva les fesses pour que le bas de survêtement glisse, il écarta machinalement les jambes. Valentin commenta le spectacle « bah voila, on a beau être un homme on en sait pas moins boire… tu es complètement trempé et pour faire ça avec une Tena faut en avoir à vider ». Sylvain se retourna et fixa Valentin. « C’est agréable d’être mouillé ça me rappelle que petit pour éviter de me lever devant les autres et de me mettre nu je prenais ma douche et me lavait en slip. Comme ça on ne voyait pas mon zoziau »

« Et maintenant ? »

Sylvain« Maintenant je montre ma lance à incendie à qui veut pour qu’on s’en occupe, la preuve. Les filles l’apprécient bien que je n’ai pas souvent le droit à un traitement comme tu l’as fait tout à l’heure. Elles n’aiment pas ou ne savent pas toute sucer »

Valentin « Je dois le prendre comme un compliment alors ou une invitation à recommencer ? »

Sylvain « Arrête tes conneries, mec, tu as dit que tu me changeais c’est tout »

Valentin « Et moi alors j’ai droit à quel plaisir, quel merci ? »

Sylvain « bah je croyais que ça te faisait plaisir de me retirer mon caleçon et maintenant de me changer la couche ?... sinon je peux me démerder… » Et il essaya de se dégager de l’étreinte de Valentin qui était sur lui. Sa cheville lui fit mal et il ne pu le faire. Valentin dégrafa donc la couche.


Le sexe de Sylvain était tout recroquevillé dans un écrin de ouate tissée. Il rabattit la couche entre les jambes et roula la couche savamment pour en faire un petit sac sur lequel il replia l’attache. Il posa la couche sur le sol et en attrapa une autre sèche. Cette fois il prit son temps. Sous la table de séjour il avait du talc et des lingettes et il décida de nettoyer Sylvain « ça t’évitera de reprendre la douche » Il s’attarda a des endroits précis, à la base de bourses et de nouveau sur son anus lui déclenchant une érection plus précise que lors de la mise a nu. Il risqua de décalotter sylvain pour un passer aussi la lingette et Sylvain ne broncha pas. Puis il ouvra le lange de remplacement doucement, le saupoudra de talc et fit de même sur le service 3 pièces de son ami avant de refermer la couche en serrant bien. Sylvain était de nouveau emmailloté comme un sale gamin. La sensation de fraîcheur était à l’origine de son trouble dit-il. Puis il voulut se redresser pour chercher sa bouteille de bière. Valentin lui tendit. Valentin le contemplait, sur le visage de Sylvain perlait des gouttes sans qu’il ne pu dire si c’était des gouttes de sueur ou des larmes.


Le silence s’installait dans la pièce. Sylvain finit la bière (la quatrième) et il semblait marqué sur le visage par la fatigue ou par l’alcool. Il était plus de une heure du matin, la journée de cours et le match et les événements faisait que la journée était longue pour Valentin et il savait qu’il devait promettre à son nouvel ami de le ramener a son foyer. Valentin finit sa bière à son tour. Les deux contemplaient leur bouteille vide dans leurs couches respectives…


Valentin « je te raccompagne ? »

Sylvain « t’en a pas une petite dernière pour qu’on soit définitivement zen ? »

Valentin « en fait non le pack y est passé là et tu as promis à ton entraîneur de prendre soin de ta cheville et te reposer »

Sylvain « eh ben je vais me reposer ici. Tu as plus rien à boire ?»

Valentin «Non, des sodas mais ils ne sont pas au frais »

Sylvain « donc pas de verre de l’amitié ?.. »

Valentin « je pensais qu’on l’avait déjà bu non ? »

Sylvain « oui enfin… je veux dire… le verre qui nous aident à devenir plus amis encore quoi… »

Valentin « qu’entends-tu par là ? il me semblait avoir repoussé tes limites déjà… »

Sylvain « oui, voui,.. Enfin toi tu me dis de te faire plaisir alors je t’écoute et puis je t’ai pas vu encore mouiller ta couche et si ça te plait je pourrais te changer. Tu pourrais m’apprendre tes jeux là… »

Valentin lui dit que ça tombait bien car il sentait venir une miction qu il avait encore sous contrôle.


Valentin s éleva pour aller chercher la bouteille de Calvados qu’il gardait pour les soirées entre étudiants. Il avait deux trois potes normand avec qui il aimait se mettre en condition avec du « jus local » avant d’aller en soirée. « Tiens c’est une bouteille pour faire la fêtes avec les potes mais si on fait gaffe ils verront pas que j’ai tiré dessus » Il en servit deux verres qu’ils burent en parlant des soirées étudiantes auxquelles il faisait allusion. Sylvain lui ne faisait pas ce type de soirée, il préférait aller directement en discothèque pour bouger son « boule » et toucher celui des filles. Ils s’accordèrent à dire que les mecs et les filles dansaient de plus en plus pareil et Sylvain avoua que certains culs de mec bougeaient bien aussi.

Valentin était fatigué il s’adossa sur le mur et ne se sentait pas en possibilité de reprendre la voiture. Il le dit à Sylvain. « je t’ai dit que ça me faisait rien de rester. Je te trouve cool mec. Tu respectes et tout. Tu t’occupes de moi et de ma cheville entre autre ET je m’occupe de toi. C’est le deal… et toi tu ne pisses jamais ? Moi ça va revenir … »


Valentin s’installa avec le coussin alors. Pour la première fois il se mit en situation d’être soumis aux intentions de Sylvain dont la langue se déliait un peu plus. Même si l’alcool en était responsable incontestablement, son élocution et son articulation le trahissait.

Valentin prévenu Sylvain de l’urgence de la situation et Sylvain vit la couche de Sylvain se remplir alors que Valentin glissait son short blanc.. D’abord un jaunissement puis le témoin d’humidité trahissait le flot que déversait en une fois Valentin pour libérer les bières consommées depuis une paire d’heures. Sylvain se mit à coté de Valentin et libéra ses flots à lui en touchant le devant de sa couche. Puis il prit la main de Valentin pour lui faire constater ce que Valentin imaginait déjà très bien. Valentin tata la couche lentement. Devant le petit râle de plaisir de Sylvain, il chercha aussi le sien. Il emmena la main de Sylvain sur le devant de sa couche aussi. Sylvain accepta le va et vient que lui proposait son ami. Puis il s’arrêta alors que Valentin avait les yeux clos. Seul il s’agenouilla à coté de lui prenant soin de ne pas réveiller de douleur. Il caressa la nuque de Valentin et son torse et celui-ci n’osait ouvrir les yeux parce que il pensait qu’en croisant son regard cela s’arrêterait. Sylvain gardait une main sur le devant de la couche… « il va falloir que je te change alors ? »

Valentin « Oui moi aussi mais ce sera les dernières, ensuite il faudrait récupérer celles dans la voiture »



Sylvain, assez maladroitement mis Valentin en long sur le canapé et essaya de répéter le change dont il avait fait l’objet. En ouvrant la couche le sexe se dressa, comme libéré de l’espace celui-ci pointa vers lui alors que Valentin l’avait coincé vers le bas. Une goutte de liquide encore chaud vola dans l’air et éclaboussa Sylvain. Il essuya l’humidité restant avec le reste de ouate qui n’avait pas servi à absorber l’urine. Sylvain découvrait l’intimité de Valentin sous un nouvel angle. Il y passa la main sur des zones qu’il savait sensible en se disant que si ça pouvait lui faire plaisir ça ferait aussi plaisir à Valentin qu’on lui fasse. Il découvrait le secret et le plaisir simple des caresses homosexuelles, plus simple car régie par une règle innée « commence par faire à l’autre comme toi-même tu aurais du plaisir »

Et évidemment cela marchait. Il voyait Valentin se trémousser et se pincer les lèvres. Le gland de son ami devenir pourpre…


Il garda sa deuxième main pour se tâter la queue car celle-ci se raidissait et se cherchait un chemin dans la ouate chaude de son pipi. N’y tenant plus il essaya de la faire passer par l’entrejambe au niveau de l’élastique mais sa position et la couche serrée ne lui permit pas de manipuler son membre comme il le désirait. Valentin regardait sylvain plein de désir pour se satisfaire. Il s’assit pour toucher le galbe de la couche et l’agiter. Sylvain essayait de garder les avances de Valentin. Mais ce que Valentin voulait, il aimait l’obtenir dans ces moments là. Sylvain se retrouva donc projeté à quatre pattes sur le plan horizontal et Valentin passa son bras entre les jambes de son ami pour lui saisir le paquet et l’agiter. Le cul de Sylvain était cambré et offert à quelques pression que Valentin imprima pour faire monter le désir encore plus. Il fessa sylvain a travers la couche. Celui-ci se rebella auprès de Valentin qui lui était maintenant nu. Le combat ressemblait à une lutte du désir de soumettre l’autre.


« C’est toi qui a perdu le pari c’est a toi de céder… »

« Je ne veux pas que tu touches à mon cul » cria Sylvain à Valentin qui lui cherchait à vérifier l’humidité de la couche de son partenaire.

Dans l’affolement Sylvain se plia la cheville et s’affala sur le matelas. Valentin s’excusa de l’avoir brusqué. Ne sachant comment s’excuser, il l’embrassa et sylvain ne protesta pas. Ses lèvres ourlées s’ouvrirent et il chercha même à en avoir plus. Le baiser devint fougueux et sylvain le donnait à Valentin…qui laissait faire bien entendu !!!


Il dégagea la couche de Sylvain sur un coté et son sexe pointa. Sylvain avait cédé aux avances et maintenant il prenait l’initiative prêt à se donner du plaisir avec Valentin. Le cul de valentin était encore humide mais Sylvain y ajouta de la salive. Valentin l’arrêta « tu sais ce que tu vas faire ? »

Sylvain « oui je vais te montrer comment on baise comme un homme »

Valentin « je préférais un peu d’amour, les préservatifs sont sous la table à coté »

Sylvain « ah oui tu as raison c’est mieux comme ça… » Pendant qu’il en enfilait un il regardait la couche pendre et découvrir la fesse gauche de Sylvain. Sur celle-ci il y avait un tatouage. Un petit cœur écrit SF. Sylvain ôta la couche qui le gênait pour pointer son sexe vers le point stratégique « tu me dis parce que je ne sais pas ce que c’est un cul de mec »

Valentin l’attendait…


Sylvain s’avança vers Valentin en le regardant dans les yeux. Il souleva ses fesses, pris ses jambes et les plaça sur ses épaules. Je vais te faire comme je fais aux gonzesses et tu me diras si ça te va. Son membre était droit alors que celui de valentin avait perdu de sa vigueur. Le gland hésita à trouver son chemin mais valentin l’y aida. Ce premier niveau franchit Sylvain pensa pouvoir poursuivre plus vaillamment. Valentin se contractait même s’il voulait s’offrir au jeune éphèbe métis qu’il avait observé puis cajolé ce soir. Il fit comprendre a Sylvain que c’est lui qui menait la danse dans les premiers instants. Il se plaça dans l’axe de son assaillant et serra alternativement son sphincter anal pour masser et appréhender un sexe déterminé. Cela fit reprendre vigueur au sien. Sylvain bougea de nouveau un peu

« Tu as le cul serré, j’ai jamais connu ça »

« Mais je croyais que tu n’en avais jamais connu ? » lâcha valentin dans un soupir.

« ..De mec non mais de filles oui et après tout ma bite n’a pas d’œil. Laisse-moi te prendre à ma manière »


Cela voulait dire en macho par derrière et valentin le compris. Après tout pourquoi pas. Sylvain sorti son membre à moitié enfoncé et laissa à peine le temps de se retourner pour la plaquer sur le lit placer un coussin sous son bassin et profiter de sa première incursion pour aller plus loin d’un trait. Puis il s’immobilisa et resta comme ça. En fait il tournait la tète pour regarder leur reflet dans le miroir sur le mur. Valentin aperçu son regard dans le miroir également. Il y voyait une satisfaction au moins égale au plaisir qu’il en avait. Il sentait son ami vibrer à l’intérieur de lui, son sexe palpiter…. Une telle jouissance sans bouger si fort qu’un claquement de dents s’enclencha. Lorsqu’il s’agita de droite à gauche, il sentait sa prostate irradiait des influx nerveux dans tout le corps. Sylvain lui demandait s’il était bien à fond. « Oui reste comme ça sinon je vais jouir trop tôt » cela dura une grosse minute puis sentant perdre de la rigidité, sylvain relança la machine en alternant coup de butoir et aller retour plus voluptueux. La cheville de Sylvain l’handicapait un peu mais Valentin ne le remarqua pas.


Il pris le postérieur de Valentin et l’invita à suivre le rythme sur le coté. Valentin aima cela. Il avait possibilité de tenir son membre et le faire réagir et l’autre main de presser le postérieur de son ami, le toucher pour guider les coups de reins suivants. La chair était ferme et il la griffait pour rendre du plaisir. Sylvain oubliant sans doute tout ce qui était autour de lui accéléra le mouvement. Son souffle accélérait et il mordilla la nuque et l’oreille de Valentin. Valentin lui ne pu retenir ses cris de plaisirs et ils se rendirent ensemble en jouissance. Ce fut une symphonie en A majeur « Aah, ah… ahhhhhhhhhhhh »


Aux éclats de voix de valentin, suivi un long silence. Valentin ne supportait pas de ne pas voir le visage qu’il imaginait satisfait de Sylvain. Mais en se retournant les yeux pleins de félicité il s’aperçu que Sylvain avait les siens rempli de larmes. Valentin l’embrassa, il ne savait faire que ça en de telle situation, prêt d’un beau gosse comme lui. Sylvain acceptait ses baisers mais ne se calmait pas… Valentin chercha « tu t’es fait mal a la cheville ? » « Mais non,… » « Bah alors…. » « Mais ça ne te fait rien de te laisser baiser comme ça ? Moi j’ai honte d’avoir fait ça et d’y avoir pris du plaisir si en plus tu avais mal ! » « Tu déconnes là ? Tu l’as voulu et moi aussi, on avait le choix. Ce n’est pas une vraie souffrance, c’est une envie qui me creuse le cœur depuis que je t’ai vu sur le terrain et plus encore dans les vestiaires. C’est pour moi un mode de fonctionnement que j’ai depuis mes 15 ans. Je sais c’est jeune mais à la fois j’avais encore besoin de couches a cette époque et j’ai appris comme ça avec mon cousin que ça excitait de me voir comme ça au coucher. Je n’ai pas souffert du tout. Tu te débrouilles comme un roi. J’ai crié du plaisir que tu m’as donné… ».


Mais on n’est pas fait pour ça nous les mecs. Ton cul est confortable et vu d’ici j’en ai oublié que tu étais un pote. Mais un pote qui me suce et avale, un pote qui m’offre ce que tu m’offres ce soir, ce n’est pas ce que j’attendais… et en plus on porte des couches… »


« Il est tard tu sais tu es sur que tu as envie de parler de ça ? Tu regrettes là ce que tu as mis dans cette capote ? » Cela sentait la colère contenu et Sylvain ne répondait plus. Il reniflait comme un morveux. « Moi je préfère faire l’amour tendrement mais ce que on vient de faire je ne le renie pas c’était bon aussi… »

« Je ne te prends pas pour une fiote mais je ne me savais pas pédé car moi aussi j’ai aimé. Je ne sais pas si j’ai déjà pris mon pied comme ça à bien réfléchir. »

« Maintenant je te comprends … Moi la première fois que j'ai dit à un copain ok, pour le sucer j’ai culpabilisé. J’ai essayé d’avaler et j’ai tout recraché dans l'évier et celui-ci a cru que je regrettais… » Sylvain écoutait. « Oui, au début, ça peut avoir l'air un peu violent : déjà on peut en avoir beaucoup à avaler, et puis le goût est très différent de ce que tu as déjà goûté. C'est très amer et la saveur reste longtemps dans la bouche. Quant à savoir si c'est bien de le faire, la question ne se pose pas vraiment. Y a les garçons qui en ont envie, y a ceux qui n'ont pas envie. Y a ceux qui ont envie d'essayer et qui n'aiment pas finalement. Chacune fait ce qui lui plaît. Et là moi j’avais envie d’aimer ton sexe qui lui avait envie de moi.


Mais tu aimes le sperme dans ta bouche maintenant ? Et comment tu en es venu à faire l’amour avec un mec. Tu aimes vraiment ?

« Bah j’ai eu la chance que ce soit progressif et parfaitement choisi c’est pourquoi je ne voulais pas te brusquer ce soir et c’est toi qui l’a décidé aussi. Pour ce qui est de la sucette « Ce que j'aime bien, c'est sentir jouir mon partenaire dans ma bouche. Je tête son sexe jusqu'à ce qu'il n'y en ait plus une seule goutte, jusqu'à ce soit fini. Y a quelque chose de gratuit, et puis après j’aime les caresses sur les joues et faire un câlin tout tendre. Bien sûr, c'est pas toujours dans ce sens-là, y a des soirs où c'est l’autre qui me fait jouir avec sa bouche et ses doigts. On a encore plein de chose à explorer si tu oses te dire que tu aimes ça. ». Entre mec les caresses bucco-génitales sont plus douces et plus tendres. Même quand l'orgasme est au rendez-vous, comme quoi. Certains sont rebutés par une pratique qu'elles trouvent humiliante. Compréhensible. Mais quand la confiance règne entre les partenaires ou que l'on est soi-même très à l'aise, rien n’est humiliant. Je dirais presque que tout est plaisir. Et de toutes manières, on a toujours le droit de dire non. De dire non avant, de dire non après (ça, je préfère ne pas le refaire) et de dire non pendant. Eh oui, pendant. Si d'un coup on ne le sent pas, si on n'en a plus envie et que vraiment ça nous gène, on a le droit de se retirer. Après on s'explique, on essaie de comprendre ce qui a gêné. Et si vraiment ça ne passe pas, eh bah on passe à autre chose ! Y a quand même l'embarras du choix ! Moi je trouve que le dialogue est la base de l’acceptation d’une sexualité épanouie. Maintenant pour ce soir je crois que ça va aller non ? que dis tu de dormir un peu. Tu me remets une couche ?... Sylvain n’hésita plus séduit par la franchise et l’aisance de son copain. Ils se couchèrent langé, une cheville douloureuse pour sylvain et satisfaits. Quelques jours plus tard vous savez quoi ? Sylvain accepta de se faire sucer en couche et même de faire l’amour en couche et que valentin visite troue sa couche.


Ces deux là referont sans doute reparler d’eux, si vous m’y autorisez…. !




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