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  • Photo du rédacteurDanette

La tisane de tante Sylvie

Dernière mise à jour : 25 août 2020

Cette histoire aurait pu être banale si elle ne s’était pas passée cette année en 2020 en plein deconfinement.


En classe terminale en région parisienne cette année mon bac n'a pas de valeur et je suis fils unique, Mes parents, très absorbés par leurs carrières d’avocats d’affaires ont eu moins que jamais du temps à me consacrer. La question des vacances n'est pas une préoccupation pour eux, Ne sachant pas trop quoi faire de moi. Là, il se posait la question des vacances d'été, pour lesquelles mes parents voulaient un vrai « break » par rapport aux études (les leurs surtout). Ils ont donc sollicité une cousine lointaine, qui habite dans les Pyrénées, afin de me faire profiter de cette belle région pendant quelques jours. Me voilà donc parti chez tante Sylvie et j’arrive ce soir par le train. Sylvie vient me chercher à la gare et m’attend sur le quai. Je dois dire que c’est une très jolie femme, la quarantaine, grande, élancée, brunette aux yeux verts et limpides et aux petites pommettes prometteuses. Elle m’embrasse avec un grand sourire : - comment vas-tu Julien, tu as bien grandi pendant toutes ces années où nous ne nous sommes pas vus, même si je trouve que tu fais bien jeune pour un garçon qui passe son bac... Je lui souris en retour et lui tend la joue. Elle est délicieusement parfumée, un peu de violettes je pense, ce qui ajoute à son charme. Nous arrivons bientôt chez elle, une grande maison un peu bourgeoise, pas très loin d’une petite ville. Ma mère m’avait confié que tante Sylvie n’avait pas de problèmes d’argent, car elle avait hérité la fortune de son père, disparu accidentellement, et de ce fait elle n’avait pas besoin de travailler, mais avait de multiples occupations. Sylvie me montre ma chambre, très vaste avec une très belle vue sur le petit bois avoisinant. Puis nous dînons tranquillement sur la terrasse, dans le soleil couchant. Sylvie me pose plein de questions sur ma vie à Paris, mes activités, le lycée, mes amis, mes petites amies... : - Tu es grand à présent, ce serait bien normal d’avoir une petite amie... Me dit-elle avec un petit air coquin, qui me gêne un peu au début, mais me met finalement à l’aise, moi qui suis plutôt timide et renfermé.

Après le repas Sylvie me propose une tisane de sa composition : - elle est très bonne votre tisane tante Sylvie, - Merci Julien, c’est une recette familiale, tu devrais bien dormir avec ça. Oh, mais il est vraiment tard, allez va te coucher à présent, je pense que tu dois être fatigué après un tel voyage. Je me lève, fais un baiser rapide sur la joue de Sylvie, qui sent décidément très bon. J’ai les yeux qui se ferment tous seuls et me sens effectivement très las. Je me mets vite au lit et ne tarde pas à m’endormir, ravi d’être reçu chez cette tante si gentille, plutôt que d’avoir été en colonie. Le lendemain matin, je suis réveillé par l’odeur du chocolat chaud et des croissants que Sylvie est venue m’apporter jusque dans ma chambre. - coucou mon Julien, bien dormi ? je pense que oui, il est presque 10 heures du matin - bonjour tante Sylvie, oui bien dormi... dis je en baillant Mais, à peine ai-je remué que je sens quelque chose de froid dans mon lit... Je rougis instantanément, et tante Sylvie voir mon trouble. - eh bien, que se passe-t-il ? - je... je crois que.. j’ai mouillé mon lit tante Sylvie Inquiète, Sylvie défait les draps d’un seul coup et découvre une immense tâche humide, je me mets à pleurer...

2 / Sylvie ne perd pas son sang-froid et me dit d‘une voix rassurante : - Ne t’inquiète pas, c’est un accident, ce sera vite réparé. Lève toi et va te doucher, je vais arranger ça. Sylvie défait le lit pendant que je me douche et m’habille. Le petit déjeuner, délicieux, est vite expédié. L’incident du pipi au lit est à présent oublié, et Sylvie me propose une visite des alentours, car elle veut me montrer tous les trésors de ses montagnes pyrénéennes qu’elle aime tant. Nous avons pris un pique-nique et nous promenons au gré des envies de Sylvie qui se révèle incollable sur l’histoire de sa région. Moi je suis ravi d’avoir une guide aussi cultivée et toujours aussi délicieuse. La journée passe rapidement et nous rentrons le soir un peu fourbu de notre escapade. Sylvie se met en cuisine tandis que je colle devant la télévision. Le repas est vite avalé, suivi de l’inévitable tisane, toujours aussi délicieux. Vient le moment d’aller au lit, Sylvie monte avec moi dans ma chambre et me dit alors, un peu gênée : - tu sais Julien, j’ai changé les draps de ton lit, mais... je voudrais éviter un autre accident, parce que cette fois-ci je n’ai plus de draps propres, et puis ça abime le matelas aussi - oui bien sûr, tante Sylvie, j’ai honte pour ce matin, et je vous promets de prendre mes précautions avant d’aller me coucher - N’ai pas honte, je sais que tu n’y peux rien et justement je voudrais être sûre, tu comprends... j’ai mis une alèse sous les draps déjà, mais le mieux serait de... t’équiper toi aussi, ça me tranquilliserait complètement, et on ne sait jamais. - de m’équiper. C'est-à-dire ? - eh bien voilà, j’ai mis une alèse sous les draps, et puis j’ai pensé que tu pourrais mettre ceci Sylvie ouvre le placard et en sort quelque chose de blanc que j’ai du mal à identifier. Elle étale la chose sur le lit... Ô stupeur, c’est.. un change complet. - mais, tant Sylvie... c’est une couche... comme pour les bébés ? - Oui julien, c’est une couche, je sais que ce n’est pas drôle pour toi, mais moi ça me tranquilliserait beaucoup que tu la mettes. je vais d’ailleurs le faire avec toi pour être plus sûre - oh, mais non, je ne veux pas... je ne suis pas un bébé - bien sûr que tu n’es pas un bébé, laisse moi faire ce sera rapide, et puis tu sais, quand tu étais petit, il m’arrivait souvent de te changer pendant que ta mère était occupée, - je ne veux pas... - Écoute, on essaye juste pour cette fois, et si ton petit souci s’arrange on en restera là, d’accord ? Tu ne voudrais pas que l’accident de ce matin se reproduise ? Sylvie a tant de charme, elle dit cela avec un si beau sourire, e j’ai tellement honte en me rappelant la découvert de ce matin que je ne dis plus rien. Sylvie m’allonge sur le lit : - laisse toi faire Julien, ça sera vite passé. La pharmacienne m’a bien conseillé, elle m’a donné la bonne taille apparemment, mais on va le vérifiera tout de suite. Déjà à moitié assoupi, je la laisse m’enlever mes habits, mon bermuda, tee-shirt. La gêne que j’éprouve lorsqu’elle fait glisser mon petit slip disparait vite en voyant son grand sourire rassurant. Elle glisse la couche sous moi, puis rabats les deux côtés sur le devant, et prends un soin particulier à fixer les scotchs. Enfin elle passe sa main partout sur la couche pour vérifier. - Voilà dit-elle, ça a l’air parfait. Tu vois, ça n’a pas été long, allez gros dodo à présent. Demain matin on regardera le résultat, surtout attends moi avant d’enlever ta couche.

J’enfile mon pyjama par-dessus la couche, puis Sylvie m’embrasse et éteint la lumière. Je m’endors presque aussitôt, finalement plutôt rassuré avec l’épaisseur de la couche entre les jambes, en repensant avec bonheur à cette journée splendide passée avec Sylvie. Le lendemain matin, c’est encore une bonne odeur de chocolat chaud et de croissants qui me réveille. Je sens la couche entre mes jambes, ça me gêne un peu et en même temps j’ai une sensation plutôt agréable, d’autant que se manifeste une érection matinale assez prononcée. J’entends Sylvie qui m’appelle depuis le rez de chaussé : - Julien tu es réveillé ? viens vite prendre ton petit déjeuner, il est déjà tard, et nous avons une journée plutôt bien occupée - Oui tante Sylvie, mais... euh.. j’ai toujours... ma couche - ah oui c’est vrai, écoute descends comme ça, on va prendre notre petit déjeuner tranquillement et on verra après. Je descends donc en pyjama, un peu penaud, car je sens bien que ma couche est trempée.

3 / Heureusement, la couche est très épaisse, mais il y a quand même eu l’apparition d’une légère auréole sur le pantalon. J’embrasse Sylvie, toujours aussi radieuse, et nous profitons du soleil qui commence à arroser généreusement la terrasse pour déjeuner dehors. Après avoir rangé les restes du petit déjeuner à la cuisine, Sylvie m’emmène jusqu’à la salle de bains : - alors, Julien, il est temps de voir comment ça s’est passé cette nuit... Sylvie observe que le pantalon de pyjama est mouillé : - Ah oui, dis donc, j’ai bien fait d’insister, je pense que tu aurais encore trempé le lit sans la protection, tu as vraiment des petits soucis en ce moment... Lorsqu’elle commence à abaisser mon pantalon de pyjama, je suis absolument rouge de honte. Sylvie me fait tourner sur moi-même et passe sa main sur la couche avec une certaine insistance. Immanquablement, j’ai de nouveau une érection très marquée, d’autant que la robe légère de Sylvie laisse bien entrevoir sa petite culotte blanche, et il est impossible que Sylvie ne s’en aperçoive pas. D’ailleurs elle ne tarde pas à me dire, sa main posée sur le devant de la couche à l’emplacement même de mon sexe dont elle doit sentir la grosseur, en me regardant de ses beaux yeux verts brillants : - eh bien, petit coquin, il semble que ça ne te perturbe finalement pas trop de mettre une couche la nuit. Bon, nous sommes un peu pressés à présent, je te laisse enlever la couche, prends ta douche, habille-toi, on va aller faire les courses. Et elle retire sa main, à mon grand regret...

Je remonte dans ma chambre, avec ce mélange de honte et de plaisir qui m’habitent depuis mon réveil. J’hésite un peu... la douceur de la couche est si agréable, et l’entrevue avec Sylvie m’a pas mal émoustillé. Je ne peux m’empêcher de plonger ma main dans la couche et procède rapidement à une masturbation frénétique, en repensant à l’aperçu de la culotte blanche de Sylvie. La jouissance ne tarde pas, et j’ai soudain une forte éjaculation dans la couche, accompagnée d’un grand soupir de soulagement. Là, j’ai vraiment très honte de moi, et j’arrache la couche dans un geste colérique, puis vais prendre ma douche, ce qui achève de me calmer complètement. C’est plus détendu, et tout sourire que je redescends pour rejoindre Sylvie qui m’attend tout tranquillement dans la voiture. - alors Julien, on dirait que la douche, ça t’a fait du bien ? Tu avais l’air un peu tendu tout à l’heure, me dit-elle avec un petit clin d’œil. - oui tant Sylvie, ça va mieux, merci. Nous allons en ville pour faire des courses. À un moment Sylvie me laisse devant un magasin de jeux Video, pour aller faire une course pour elle. Un peu plus tard, nous nous retrouvons et faisons le tour de la ville pour la visiter. De nouveau, je suis enthousiasmé par tout ce que Sylvie sait de sa région, de sa ville. Elle me fait découvrir une multitude de petits détails d’architecture, tous liés à un point particulier de l’histoire de la ville, les placettes ombragées, les fontaines. Après une pause déjeuner rapide, nous poursuivons la visite et nous retrouvons en fin d’après midi à une terrasse de café pour siroter une boisson bien fraîche et bien méritée. Je remarque que la silhouette de Sylvie attire beaucoup les regards des hommes qui passent, et qui doivent m’envier d’être en si bonne compagnie. Sylvie ne fait aucune allusion à l’accident de cette nuit, et j’apprécie sa discrétion, je ne sais d’ailleurs plus si je dois espérer ou craindre la séance de ce soir.

4 /

Nous rentrons assez tard à la maison, Sylvie prépare le repas rapidement et nous dînons sur la terrasse où la douceur du soir nous a invités. Sylvie complète ses commentaires de la visite, ravie que je montre aussi passionné alors qu’elle pensait que je ne m’intéressais qu’aux jeux vidéo, selon les dires de ma mère. Après le repas, Sylvie file à la cuisine pour préparer la désormais traditionnelle tisane du soir. Nous profitons de la belle nuit étoilée qui se profile pour faire un jeu de devinettes sur la terrasse, encore gorgée de la chaleur du jour. Puis Sylvie se lève et me dit : - Allez Julien, il faut aller au lit à présent, mais je pense qu’il faut garder la prudence de la nuit passée. Je sens une boule d’angoisse me monter dans la gorge. - Ne t’en fais pas, tu as bien vu que ce n’était pas si terrible, et je suis sûre que la situation va s’arranger rapidement. Viens avec moi, je vais te préparer. - mais, tant Sylvie, je... je peux m’en occuper tout seul vous savez, j’ai bien compris, je pense. - je préfère le faire, Julien , me coupe-t-elle assez brusquement, je tiens à ma literie. D’ailleurs je pense qu’il faut prendre encore plus de précautions, tu as failli avoir une fuite cette nuit. - Ah bon ? Mais quelles précautions alors ? - tu verras bien, suis-moi. Nous montons ensemble dans ma chambre, et, comme la veille, Sylvie me fait allonger sur le lit et me déshabille. Elle va chercher une couche dans l’armoire, mais aussi 2 petits paquets qu’elle met sous son bras. - c’est quoi tout ça tante Sylvie, dis je avec une petite voix étranglée. - oh ce n’est as grand-chose, c’est la petite précaution supplémentaire. Et Sylvie déplie sous mes yeux ébahis une culotte en plastique blanche, dont je perçois l’odeur à la lanoline si caractéristique. - C’est la pharmacienne qui m’a conseillé de te mettre ça, je vois qu’elle a prévu large pour la taille, et puis il y a aussi ces inserts que l’on met dans la couche pour les rendre encore plus absorbantes. - mais... tante Sylvie, je vais encore plus avoir l’air d’un bébé comme ça. - Et alors, il n’y a que toi et moi qui connaissons ce petit secret, et la pharmacienne bien sûr, mais tu peux compter sur sa discrétion, elle a l’habitude de ces situations. Vraiment, je ne veux prendre aucun risque. Sylvie place un insert dans la couche puis la glisse sous moi et la fixe avec beaucoup de précautions, en prenant soin de vérifier autour des cuisses et à la taille. Je constate alors que la couche avec l’insert donne vraiment une impression de sécurité extraordinaire. - Allez, mets-toi debout à présent, me dit Sylvie. La pharmacienne n’avait malheureusement pas de culottes avec des pressions et uniquement des culottes fermées, ça s’enfile absolument comme n’importe quelle culotte. - Oh, mais tante Sylvie (je gémis), vous êtes sûre que c’est nécessaire ? - oui, Julien, on verra dans les jours qui viennent s’il faut garder tout ça - dans les jours qui viennent, mais... c’est un accident, ça ne m’arrive, jamais vous savez. - Je pense aussi que c’est un accident, mais on fera comme ça tant que tu mouilleras ton lit. Je dois avoir la mine renfrognée, car Sylvie me fait un gros baiser sur la joue, assorti de son sourire enchanteur. Je me rends compte que je commence à somnoler sérieusement et me décide enfin à me mettre debout, Sylvie a posé la culotte en plastique au sol, sous mes pieds et m’aide à l’enfiler. - eh bien voilà Julien, ce n’est pas si terrible, dit-elle en ajustant les élastiques de la culotte à la taille et aux cuisses et en me donnant même une petite tape sur les fesses - euh oui... mais je me sens très ridicule vous savez, - ce n’est rien encore une fois il n’y a que toi et moi qui te voyons comme ça. Allez, au lit cette fois Je me glisse dans les draps, et Sylvie éteint la lumière. Comme la veille, je m’endors rapidement, encore tout émoustillé par l’attention que Sylvie m’accorde lors de ces séances de coucher.

5/

Le lendemain matin je suis réveillé par la pluie qui tombe fort sur le toit de la cabane du jardin. Je tâte entre mes cuisses et me rends compte que la couche est de nouveau trempée... Mais que se passe-t-il, je commence à être inquiet ? Serais-je devenu incontinent ? La fatigue du premier soir est désormais bien loin, et il n’y a pas de raison valable à ces accidents. J’entends Sylvie qui passe dans le couloir : - ça va Julien ? tu as fait un gros dodo dis donc, descends vite, le petit déjeuner est prêt. - oui tante Sylvie, mais.. Ma couche... - Tant pis, descends comme ça, ça n’a pas d’importance, nous sommes seuls tu sais bien. Je sors du lit, encore surpris de l’accident de cette nuit. Sylvie me fait remarquer : - ton pyjama est tout taché Julien, donne le moi, j’allais justement démarrer une lessive - Oh, mais... je.. Je.. vais rester... sans rien ? - mais voyons tu as ta couche.. allez, dépêche-toi, s’il te plait, donne-moi ce pyjama - mais... on devrait l’enlever aussi non ? - Ou bien sûr, tout à l’heure, je veux vérifier cette fois encore si elle a fait son office. Je fais glisser mon pantalon de pyjama ainsi que la veste et les donne à Sylvie qui les met immédiatement dans la machine à laver. Une fois le petit déjeuner avalé, Sylvie reçoit un coup de téléphone : - ah, c’est ma copine Chantal qui a des soucis avec sa voiture, je dois partir pour l’emmener à la gare - mais tante Sylvie, et moi, dis je en regardant à mes pieds, - écoute j’en ai pour quelques minutes seulement, et elle ajoute en regardant ma couche : tu n’as qu’à m’attendre comme ça, personne ne te verra sois tranquille Sylvie part en courant pour rejoindre son amie, et je reste seul, je n’ai sur moi plus que ma couche, et la culotte en plastique, ce qui me rend plutôt penaud. Je ne veux pas désobéir à Sylvie qui s’occupe si bien de moi, mais j’enfile quand même un tee-shirt pour ne pas prendre froid. La pluie tombe encore plus fort, et ça me rassure dans un sens, car je n’ai à priori pas à craindre de visite impromptue. Ma curiosité naturelle m’entraîne à faire une petite exploration dans la chambre de Sylvie, qu’elle m’avait juste montrée en passant. Dans la précipitation, Sylvie est partie sans rien fermer derrière elle, et c’est avec un plaisir non dissimulé que j’entreprends de mieux connaître ce qui fait son intimité. Sa chambre est vaste et claire, avec quelques beaux meubles. J’ouvre au hasard les tiroirs d’une commode, là ce sont des pulls, là ce sont ces chemisiers, et là, sublime découverte, ce sont ses sous-vêtements. Sylvie semble beaucoup aimer les jolis dessous, car elle a une véritable collection de lingerie. Des petites culottes affriolantes, le plus souvent de couleur claire, mais aussi des rouges avec dentelles, ou des bleus marine. Elle a systématiquement le soutien-gorge assorti à la culotte, et même parfois les portes-jarretelles qui va avec. Je me demande alors qui peut bien profiter de ces parures, en effet, Sylvie n’a jamais évoqué un quelconque petit ami ou fiancé. Je caresse avec délice ces dessous, le plus souvent satinés. Quel délice, c’est la confirmation que Sylvie, en plus d’être très jolie, est certainement très sensuelle ! Pendant ce temps, j’ai une envie de faire pipi grandissante... je voudrais aller aux toilettes, mais Sylvie ne veut pas que j’enlève ma couche tout seul, et j’ai peur de ne pas arriver à la remettre. Tant pis... me dis-je, autant qu’elle serve finalement cette couche... Je ne me retiens plus et fais un gros pipi qui alourdit la couche. Avec le liquide chaud que je sens bien au niveau de mon entre-jambes, j’éprouve aussitôt un grand soulagement et aussi un certain plaisir de pouvoir me laisser aller ainsi. Malgré la couche devenue un peu encombrante à présent, je poursuis mon exploration jusqu’ au cabinet de toilette de Sylvie et j’aperçois, ô surprise, rangé sur une étagère, un parquet de change complet pour adultes. Ce n’est pas la même marque et la même taille que celles que Sylvie utilise pour moi. Ainsi donc, Sylvie aurait besoin de mettre des couches elle aussi ? Je suis peut-être sur la piste d’une explication de mon énurésie soudaine. Ne serait-elle pas liée à la qualité de l’eau que l’on boit ici puisque Sylvie a les mêmes symptômes ? Autant d’interrogations qui se bousculent dans ma petite tête, bien décontenancée par tant de découvertes.

6 / Piqué par une envie coquine, je retourne vers le tiroir des dessous de Sylvie et ne peux m’empêcher de caresser délicatement les petites culottes de Sylvie, ce qui provoque rapidement une réaction bien masculine au niveau de mon bas ventre. Il me faut juste quelques caresses à travers ma culotte en plastique pour que la jouissance survienne et inonde l’intérieur de ma couche. Je range avec grand soin les dessous et referme le tiroir de la commode. Il était temps, j’entends le moteur de la voiture, annonçant le retour de Sylvie. Des portes claquent... Des portes ? Mais alors Sylvie n’est pas seule ? J’entends des pas sur le gravier, il est trop tard pour traverser le couloir de l’entrée afin de regagner ma chambre. Je me réfugie dans un coin du salon, et fais semblant de m’absorber dans une BD. Sylvie entre et me lance : - Julien ? Je suis rentrée, avec Chantal, finalement car elle n’a pas pu prendre son train. Elle va attendre ici le train pour cet après-midi. Je sors de mon coin très gêné, car j’ai mi un grand tee-shirt certes, mais qui dissimule mal la culotte en plastique. Ça ne semble pas déranger Sylvie, qui me dit : - Julien, viens que je te présente Chantal, - ah, bonjour Julien, me dit Chantal, Sylvie m’avait dit que tu étais son pensionnaire effectivement, ravie de te connaître - bonjour madame, hasardais-je prudemment. Chantal est aussi une grande et jolie femme, un peu le pendant de Sylvie, mais en blonde. Elle lorgne un peu trop souvent vers mon tee-shirt à mon goût, et je lis une certaine surprise dans ses yeux lorsqu’ils se posent sur mes cuisses et découvre inévitablement l’épaisse couche qui dépasse. Sylvie m’aide à sortir de la situation : - Ah, Chantal, tu devrais téléphoner sans tarder pour ton rendez-vous manqué, ce sera plus poli, et il faut en prendre un nouveau, Julien, viens avec moi, on va arranger tes affaires. Chantal se dirige vers le téléphone, tandis que je suis prestement Sylvie, non sans remarquer que Chantal me suis des yeux avec un air amusé qui me dérange. Une fois dans ma chambre, Sylvie me dit : - Chantal est dans un tel pétrin que j’avais complètement oublié pour toi Julien, je suis désolée, on va arranger ça vite fait. Sylvie baisse mon pyjama, et la culotte en plastique, puis défait la couche, qui est cette fois vraiment lourde. - oui bien sûr, dit Sylvie tout haut... tu as refait pipi dans ta couche évidemment, puisque je t’avais dit de ne pas l’enlever sans moi et que tu es trop sage pour désobéir. En tous cas ça a bien marché cette fois, ces couches sont vraiment bien, et avec un insert et la culotte en plastique, on ne craint rien. Mais Sylvie regarde un peu trop en détail le contenu de la couche : - Oh, mais, il n’y a pas que de pipi dans cette couche on dirait... Dis donc petit coquin... tu t’es bien amusé ce matin on dirait, ajoute-t-elle avec son grand sourire, tant mieux si ça ne te gêne pas trop d’être en couche... et puis c’est de ton âge après tout de faire ces petits amusements du matin.

7/ Je regarde mes pieds, confus, sans rien dire... - Allez, prends ta douche et mets toi en tenue de sport, j’ai réservé une leçon de tennis pour toi, ce sera plus amusant que rester avec nous. Et tu trouveras forcément un partenaire sur place. La pluie s’est arrêtée, donc le cours doit pouvoir avoir lieu. - ah oui merci tante Sylvie, j’adore jouer au tennis. - tu pourras prendre mon vélo pour y aller, le club de tennis est vraiment tout près, nous sommes passés devant hier pendant la ballade, - oui, je vois très bien où il est tante Sylvie. J’enfile un short et un maillot de tennis, ainsi que mes baskets. J’avais pris la précaution, sur les conseils de maman, d’emporter ma tenue, ainsi que ma raquette toute neuve. Je redescends et tombe sur Sylvie : - Tu peux prendre mon vélo qui est dans la remise Julien, je te laisse y aller ? J’ai retenu 1 heure de leçon dans le cours collectif de ce matin, qui commence à 11h. Le professeur est prévenu, tu peux te présenter directement à l’accueil. Le temps d’aller et revenir au club, tu seras là pour le déjeuner vers midi et demi. - bien tante Sylvie, je file, merci. Je vais jusqu’au garage et trouve le vélo de Sylvie. La raquette fixée au porte-bagages, je pars en direction du club, je ne suis pas mécontent de m’éloigner de la maison, où je me suis trouvé si ridicule au cours de l’entrevue avec Chantal. Mais, après quelques coups de pédale sur le chemin empierré, la roue avant se trouve complètement à plat, impossible de continuer dans ces conditions. Je n’ai plus le temps d’aller jusqu’au club à pied, il me faut faire demi-tour et réparer le pneu. Me voilà donc de retour au bercail, un peu trop tôt à mon goût, j’aurais bien profité de ce moment de liberté. Je range le vélo au garage et emprunte une petite porte, habituellement fermée, qui donne un accès direct au le couloir de l’entrée. Ma rentrée a été discrète, je ne veux pas que Chantal puisse de nouveau me regarder et lui donner l’occasion de se moquer de moi. N’osant pas retourner les voir au salon, je me cache dans le placard situé sous l’escalier pour attendre le moment propice et retourner dans ma chambre. J’entends distinctement la conversation des deux amies qui ne papotent pas loin, et je les distingue même assez nettement dans l’entrebâillement de la porte : - alors, Sylvie, j’ai vu que tu dois mettre des couches à Julien ? J’ai aperçu ça tout à l’heure, ça m’a fait bizarre. Cette remarque de Chantal me glace d’effroi. Elle a donc parfaitement deviné ce qui se passait, et elle ne manque pas d’en parler avec son amie, ce que je trouve parfaitement désobligeant pour moi. J’espère bien que la douce Sylvie la remettra à sa place... Mais je suis encore plus interloqué lorsque j’entends la réponse de Sylvie :

8/ - Oh... à toi je peux le dire, tu connais mon penchant DL (Diaper Lover) même si tu ne le partages pas. Tu te souviens ? Je t’avais dit que j’avais mis au point une recette sympa, à base de somnifère, substance hypnotique et de diurétique. J’en fais des tisanes que je prends le soir, lorsque je suis « équipée » bien sûr, et c’est vrai que ça décontracte tellement les muscles qu’on ne maîtrise plus vraiment sa vessie, surtout plongé dans un profond sommeil. J’avais essayé sur moi, et j’ai voulu voir ce que ça pouvait donner sur Julien. - ce n’est pas très gentil de ta part.. Tu l’obliges du coup à mettre des couches tous les soirs ? - Oui, c’est vrai, c’est un peu un jeu, mais je peux arrêter quand je veux, les effets ne durent pas au-delà d’une nuit, j’en ai fait l’expérience, sauf que j’ai l’impression que ce garçon y prend goût... Je pense d’ailleurs que Julien a manqué d’affection étant petit, ça peut être une explication au fait qu’il résiste de moins en moins à en mettre, et qu’au contraire, cela lui procure un petit plaisir. - du plaisir, tu crois, à ce point ? - eh oui ma chère, je l’ai constaté, je peux te le garantir, même si ça ne m’intéresse pas, - Oh oh, ça pourrait m’intéresser moi... - peut être... mais ce qui m’intéresse là, c’est ce que tu penses de ma nouvelle jupe, Sylvie se lève et tourne sur elle-même devant Chantal, ce qui fait virevolter sa jupe ample au point que l’on aperçoit ses jolis dessous, couleur noire cette fois. - elle est superbe ta jupe ma chérie, dit Chantal, mais tu sais bien que moi, ce qui me fait frémir, c’est le soin que tu prends pour choisir tes jolis dessous... Et là, stupéfait, je vois Chantal qui s’avance vers Sylvie, la prend dans ses bras, et l’embrasse voluptueusement sur les lèvres, tout en passant sa main sous la jupe, jusqu’à remonter à sa petite culotte. À ma grande surprise, Sylvie ne bronche pas, et s’abandonne même à l’enlacement de Chantal. Ainsi, pas mal de mystères s’éclaircissent d’un coup. Pourquoi je fais pipi au lit, du fait de la tisane de Sylvie, pourquoi elle ne s’est jamais mariée et vraisemblablement n’a jamais eu de relation avec un homme, malgré son charme inouï. Les deux amies, ignorant que je suis là et qui ne manquent rien du spectacle qu’elles m’offrent, s’abandonnent l’une à l’autre. Ce sont des baisers fougueux, des mains qui se caressent mutuellement, sur leurs jolies poitrines, se dénudant presque totalement, et aussi sous leurs jupes, révélant pour l’une et l’autre des dessous soyeux et coquins, noirs pour Sylvie, couleur claire pour Chantal. Chantal semble particulièrement émoustillée. Sa main droite se glisse entre les cuisses de Sylvie et remonte jusqu’à sa petite culotte qu’elle caresse langoureusement. Sa main se glisse ensuite à l’intérieur de la culotte de Sylvie, qui se met à gémir, bientôt accompagnée par Chantal. Je suis complètement abasourdi par le spectacle donné par les jeunes femmes, mais je sens aussi monter en moi une excitation redoutable.

9/ Soudain, Sylvie émerge : - oh, mais, Chantal, que faisons-nous, l’heure avance, ne prenons pas de risque, si Julien revenait plus tôt que prévu, - oh Sylvie quel dommage.... mais tu as raison Sylvie, nous pouvons remettre nos petites affaires à plus tard, ne prenons pas ce risque. Je profite du moment où les deux filles remettent en place leur tenue pour m’éclipser du placard et retourner en vitesse au garage y récupérer le vélo. De là, j’atteins le derrière de la maison et je rejoins la route à travers champs, ce qui me permettra d’arriver par le devant de la maison, comme si je revenais du tennis club. Après quelques minutes passées sur la route, ce qui me permet de me remettre de mes émotions, j’emprunte le chemin d’accès à la maison, le vélo à la main. Sylvie sort de la maison, et m’appelle : - alors Julien, ce tennis ? - oh tante Sylvie, je n’ai pas pu en faire, je vais vous raconter - ah bon ? Que s’est il passé, le prof n’était pas là ? - oui, comme il avait plu, le prof ne pensait pas possible de faire le cours. En revenant, le vélo a crevé. Je suis sidéré par le talent de comédienne de Sylvie qui arrive à présenter sur son visage calme et fraîcheur, malgré les moments torrides que je l’ai vue traverser. - ah oui, alors, qu’as-tu fait ? - j’ai fait la route de retour à pied en poussant le vélo. - Ah oui, effectivement c’est dommage pour le tennis, mais je peux t’inscrire pour une prochaine fois. Le déjeuner est prêt, on va passer à table. Nous prenons le déjeuner à la salle à manger. Sylvie et Chantal ne montrent en rien ce qui fait leur complicité plus intime, mais anime le repas avec leur caractère enjoué. Puis, Sylvie m’annonce : - je dois aller régler quelques affaires en ville, Julien. Comme il s’est remis à pleuvoir, le mieux est que tu restes à la maison, pour tenir compagnie à Chantal, si tu veux bien et je la raccompagnerai en fin de journée. - bien tant Sylvie. Ça me va très bien. - il faudra peut être faire la sieste, ça a du te fatiguer ce long retour à pied depuis le club, - oui effectivement tante Sylvie, dis je en baillant largement - bien, alors Chantal s’occupera de... t’équiper. parce que moi il faut que je file, - Oh, mais tante Sylvie.... - Ne dis rien, c’est moi qui dis ce qui est bien pour toi, et pour ma literie... Je jette un œil vers Chantal, mais, mis à part son regard bienveillant celle-ci ne manifeste rien de spécial. - ne sois pas inquiet dit Chantal, Sylvie m’a dit pour ton petit problème, d’ailleurs j’avais bien vu ce matin que tu étais en couche. J’ai l’habitude tu sais, depuis le temps que je m’occupe des enfants à l’hôpital, je suis infirmière, j’en ai vu des choses, - ah bon, dis je, je ne savais pas Sylvie lance à la cantonade : - eh bien je vous laisse, je pense que j’en aurai jusque vers 17h Chantal, je te raccompagnerai à ce moment-là - ça me va parfaitement bien Sylvie, merci de t’occuper de me ramener. - Ce n’est rien, c’est bien normal. Sylvie nous quitte et part rapidement à ses affaires.

10/ Chantal me dit doucement : - alors, Julien, sieste ? Ou pas sieste ? - oui, je vais faire une sieste, je crois... - bien, alors je vais t’aider, comme l’a proposé Sylvie. Chantal me prend par la main et m’emmène dans ma chambre. - où Sylvie met elle les couches Julien ? - là, dans ce placard madame, - oh, appelle-moi Chantal tout simplement - d’accord Chantal - allonge-toi sur le lit, ce sera plus commode et enlève tes affaires - oui voilà, Chantal. Je m’allonge après avoir enlevé mes habits, j’ai juste gardé mon polo. Chantal s’approche avec une couche qu’elle fait passer sous mes fesses. Elle replie la couche et pose les scotchs, non sans avoir pris un certain temps pour me mettre le sexe bien droit dans la couche : - en général c’est mieux si ton zizi est placé comme ça dans la couche, - oui, vous avez surement raison. je suis un peu gêné, parce que cette petite attention m’a redonné une érection bien forte et Chantal l’a vu, Chantal me dit : - oh je vois bien que tu es un garçon... j’avais remarqué ça figures toi... dit Chantal tout en laissant sa main avec insistance sur le devant de ma couche. Allez, fais une bonne petite sieste, ça va te retaper, et quand tu as fini tu n’as qu’à descendre, je te ferai goûter. - oui Chantal, merci. Chantal redescend, mais l’envie qu’elle a suscitée chez moi n’est pas prête de s’éteindre. Au bout de quelques minutes, perturbé par tous ces évènements, je me rends compte que je ne trouve pas le sommeil. Je descends au salon, toujours en couche, mais cette fois-ci je ne l’ai pas mouillée. - eh bien Julien, pas sommeil finalement ? me dit Chantal en me voyant arriver, - euh... plus trop Chantal, j’ai plutôt envie de faire un jeu Video. - comme tu veux, je me suis mise à la lecture de ce roman passionnant ; - je... je pourrais enlever ma couche alors, - ah oui, c’est vrai... je vais le faire si tu veux bien, viens vers moi Je m’approche de Chantal, qui a elle aussi un parfum envoûtant, un peu comme Sylvie. Chantal est assise sur le canapé et je ne peux m’empêcher de jeter un regard vers son entre cuisses, que sa jupe fendue laisse bien entrevoir. Du coup, je vois encore mieux sa petite culotte couleur crème, légèrement transparente, juste entrevue ce matin. Chantal a surpris mon regard, et me sourit : - tu sais que tu es très mignon en couche, Julien... - ah bon ? vous trouvez ? Chantal passe sa main un peu partout sur ma couche. - Oh oui je te trouve très mignon, et... tu n’as pas mouillé ta couche alors dis donc ? C’est bien ça... mais... dis-moi, on dirait que ça te plait plutôt d’être en couche, Julien, non ? - Oh pas spécialement, dis je en n’étant pas persuadé du tout de ma réponse.

11/ Chantal défait les scotchs de ma couche, puis me l’enlève, révélant une forte érection. - eh bien, Julien, même si tu mets des couches, tu sembles te comporter plutôt comme un jeune homme que comme un bébé... - euh... oui... ce n’est pas de ma faute... - tu n’as pas à avoir honte c’est quelque chose de tellement naturel et, ma foi, tu es bien membré pour ton âge, - vous... vous pensez ? - bien sûr, mais tu peux peut-être faire encore mieux, non ? dit Chantal avec un sourire encore plus coquin... Sans me laisser le temps de répondre, Chantal commence à me caresser lentement le sexe, tout en écartant sa jupe fendue un peu plus... - J’ai cru comprendre que ça te plaisait bien de voir ma petite culotte, petit coquin, je connais assez bien les goûts des garçons de ton âge. Chantal ouvre plus largement ses cuisses, révélant encore mieux son fond de culotte. Sa culotte étant légèrement transparente, je devine même son petit minou tout blond, et ça m’excite remarquablement. - oh oui, il aime ça le petit coquin, dit Chantal qui commence à me masturber cette fois franchement Puis Chantal se penche et prend mon sexe dans sa bouche, sa langue insistant sur mon gland violacé : - oh oh, ça faisait si longtemps que j’avais envie de ça, mais occupe toi de moi, toi aussi... Et Chantal prend ma main et la pose sur son fond de culotte.... Je ne me fais pas prier et explore avec ardeur cette zone encore inconnue pour moi et les cuisses de Chantal sont si douces... je me régale de les caresser. Puis Chantal prend ma main et la guide à l’intérieur de sa petite culotte : - c’est comme ça que ça fait du bien, chéri, vas y Je sens au bout de mes doigts l’humidité intime de Chantal, qui se met à ronronner. - hum c’est di bon, tu es un vrai régal Julien, dit Chantal les yeux mi-clos Chantal s’active bien à présent avec la main autour de mon sexe, que je n’ai jamais vu aussi énorme, et aussi sur me petites couilles toutes dures et bien gonflées : - Oui c’est bien comme ça chéri, tu es superbe, me dit Chantal, je vais approcher la couche, j’ai l’impression que ça te fait encore plus plaisir... J’ai du mal à retenir bien longtemps mon excitation et j’éjacule bientôt dans la couche que Chantal a pris le soin de rapprocher. Puis Chantal s’étend sur le canapé et se fait jouir de son côté avec sa propre main. - Eh bien... voilà qui doit rester notre petit jardin secret Julien, tu ne crois pas ? - oh oui, bien sûr. - Va prendre une douche à présent, il ne faudrait pas que Sylvie te voie dans cet état... - oui, j’y vais Chantal. Je vais prendre ma douche, ne sachant plus quoi penser de toute cette aventure, qui a des côtés plutôt agréables. J’ai l’impression que, malgré sa complicité avec Sylvie, Chantal n’est pas insensible au charme des hommes, et qu’elle ne rechigne pas à profiter de certaines occasions de passage. Sylvie elle, ne semble pas attirée par le contact des garçons, mais a, contrairement à Chantal une attirance forte pour le port des couches.

12/ La douche m’a fait du bien, et cette fois je suis complètement calmé, je redescends au salon où Chantal s’est plongée dans la lecture de son bouquin. Nous entendons bientôt la voiture de Sylvie qui revient. - alors les « amoureux », nous crie Sylvie (elle ne croit pas si bien dire, pensai je en moi-même), - ça a marché comme tu voulais, lui répond Sylvie ? - oui très bien, je suis disponible pour toi Chantal si tu veux que je te ramène chez toi, - oui, je ne voudrais pas tarder à rentrer chez moi, même si votre compagnie me plaît ô combien... Cette dernière phrase me fait bizarre, Chantal a en effet eu aujourd’hui même une « aventure » avec chacune des deux personnes présentes sur les lieux,. Bien sûr Chantal sait cela, mais ne sait pas que je l’ai surprise avec Sylvie. Quant à Sylvie, elle est à cent lieues d’imaginer ce qui s’est passé en son absence. Chantal se penche vers moi, elle m’embrasse, tout en posant sa main sur mon épaule d’un geste affectueux : - au revoir Julien, j’espère que l’on se reverra un de ces jours, tu es si gentil - au revoir. Chantal, dis je en répondant à sa bise sur la joue. Sylvie ne semble pas dupe, mais ne dit mot, et les deux jeunes femmes repartent en voiture. Je m’occupe à un jeu vidéo, pendant que Sylvie fait son aller-retour. Je note, un peu machinalement qu’elle prend pas mal de temps pour faire ce trajet alors que Chantal n’habite pas si loin, si j’ai bien compris. Le temps passe et je comprends que les deux filles ont voulu continuer de passer du bon temps, et je me remets à être excité en imaginant ce qui a pu faire suite à la scène que j’ai entre aperçue ce matin... Sylvie rentre enfin au bout de 3 heures d’absence. - Ô, mon pauvre Julien, tu dois avoir faim, on a encore papoté, et j’ai oublié l’heure. - ce n’est pas bien grave tante Sylvie, j’avais bien gouté Sylvie s’active à faire une petite soupe et une omelette. Nous dînons enfin, puis Sylvie me propose l’inévitable tisane après le repas. J’hésite beaucoup... je connais maintenant le secret de cette tisane... Ai-je vraiment envie de continuer à mettre des couches ? Et puis je pense que ça ne me dérange finalement pas trop et même que c’est assez agréable. Je me souviens que Sylvie avait dit que ça disparaissait sans problème. J’accepte donc la tisane, en connaissant cette fois tous les effets que celle-ci aura sur moi. Sylvie me dit peu après qu’il est tard et qu’il est temps d’aller au lit, sans oublier de passer par la case « couche » me dit-elle d’un petit air amusé. Nous montons ensemble dans ma chambre et s’ensuit ce qui est devenu un peu un rituel. Sylvie prend une couche dans le placard, récupère la culotte en plastique qui séchait dans la douche et me propose de m’allonger sur le lit. Tandis qu’elle me lange avec sa douceur coutumière, je ne peux m’empêcher d’aborder le sujet pour lequel j’aimerais bien qu’elle me donne des explications : - dites, tante Sylvie, je trouve curieux d’avoir tous ces accidents de pipi au lit... - Oui, je sais, ça peut paraître bizarre, c’est ainsi. me répond Sylvie, gênée tout d’un coup - Vous ne pensez pas que ça vient de l’eau qu’on boit, vous n’avez jamais de problème vous... ? Je vois que Sylvie rougit légèrement... : - tu... tu as raison Julien, finit par me dire Sylvie, je n’en ai pas parlé à ta mère pour ne pas l’inquiéter, d’ailleurs il n’y a rien d’inquiétant en fait. Oui, il se trouve que l’eau d’ici a un caractère diurétique très prononcé qui se manifeste plus ou moins fortement sur les personnes et selon leur état de fatigue. - mais.. Vous par exemple... vous êtes sensible à ce phénomène ? Plus ou moins ?

13/ Sylvie hésite, puis lâche : - oui... tu as bien vu Julien, en fait je suis particulièrement sensible à ça - alors... vous avez le même besoin que moi de... de mettre des protections... ? Je vois bien que Sylvie se trouve coincée, elle ne me regarde plus de son petit air narquois cette fois. - Eh bien oui, Julien, je te le dis, je dois mettre une couche tous les soirs, comme toi. Tu vois, ce n’est pas si terrible que ça... - vous savez, je suis plutôt soulagé que vous me disiez ça, j’avais peur d’avoir une anomalie, - Oui, je comprends, j’aurais sans doute dû t’en parler tout de suite pour faire en sorte de ne pas t’inquiéter, je suis confuse... Le premier soir, je ne savais pas si tu réagirais comme moi, c’est pour ça que je ne t’ai pas mis en couche. - ah, ce n’est pas bien grave. Je souris en douce en pensant au coup que j’ai fait à Sylvie en la mettant mal à l’aise là où elle pensait me piéger, mais je la trouve aussi assez osée de me sortir de nouveaux mensonges, car je sais pertinemment que ce sont ses tisanes qui sont à l’origine après tout, elle avait bien dit à Chantal que ce ne serait pour elle qu’un amusement passager, une petite expérimentation. Sylvie ajoute en ayant retrouvé son sourire enjôleur : - du coup, je suis effectivement devenue experte en pose de couches... - Oui, ça, je l’avais bien vu tante Sylvie, vous avez le tour de main. Sylvie finit de me langer, en rabattant avec délicatesse les côtés de la couche sur le devant, en accrochant les scotchs. - et comme deux précautions valent mieux qu’une... comment telle en m’enfilant la culotte en plastique Sylvie me tapote les fesses affectueusement : - ça va mieux Julien alors ? Tu es soulagé ? - oh oui tante Sylvie, je vais dormir comme un ange, - oui, comme d’habitude, en fait...


14/ Le lendemain, la pluie persiste et c’est de nouveau le bruit des gouttes sur le toit de la cabane qui me réveille. Sylvie entre dans ma chambre, avec le plateau du petit déjeuner. - bonjour Julien, bien dormi ? Je t’apporte le petit déjeuner au lit pour me faire pardonner mes petites cachotteries. Elle s’assied au bord du lit tandis que je me redresse en m’adossant au gros oreiller. Je sens que cette fois encore j’ai beaucoup mouillé ma couche, mais ça ne me dérange plus autant que les autres jours. Sylvie est encore en chemise de nuit, toute blanche, et assez vaporeuse. L’éclairage venant du couloir fait que je vois bien en transparence, et je distingue assez nettement... que Sylvie est en couche... Sylvie croise mon regard et comprend : - eh oui Julien, j’ai pensé que, pour dédramatiser la situation, tu avais le droit de me voir moi aussi en couche... Je te dois bien ça pour la petite frayeur que je t’ai faite, lorsque tu pensais avoir une anomalie. Sylvie se lève et soulève sa chemise de nuit... Je vois qu’elle a une couche très épaisse, encore plus que la mienne... une couche qui semble déjà bien mouillée. - tu vois... ce n’est pas si terrible d’une part, d’autre part on est tous faits pareil, non ? On pourrait même en faire un jeu.... rester en couche le plus longtemps possible ce matin. Le premier qui a une fuite a perdu, tu serais d’accord ? L’idée de ce jeu me paraît tout à fait incongrue, mais je m’entends répondre, un peu contre mes pensées : - oh oui, c’est super ce jeu, tante Sylvie, - oh chic alors, j’avais peur que tu ne restes sur une mauvaise impression. Écoute, j’ai fait les courses pour la semaine, on n’a donc pas à sortir, on peut rester dans la maison toute la matinée, de toute façon la pluie est partie pour un moment. Prends ton petit déjeuner et on se retrouve en bas, interdiction d’aller aux toilettes de toute la matinée, d’accord ? - eh bien. Oui tante Sylvie, mais, et ma douche ? - On aura bien le temps plus tard, et puis, le jeu est fini dès qu’on a une fuite... tu penses tenir si longtemps que ça, ajoute-t-elle radieuse. Sylvie descend au salon, tandis que j’avale mon petit déjeuner. Je sens que je fais encore pipi dans ma couche, ce qui me fait craindre de perdre assez vite au jeu de tante Sylvie. J’arrive à mon tour au salon : - enlève ta culotte en plastique Julien, comme ça je pourrai surveiller ce qui se passe au niveau de ta couche. Tu vois, moi je me suis mise à l’aise... Je vois ça... Sylvie a retiré sa chemise de nuit et n’a sur elle qu’un soutien-gorge, ravissant, rose avec de la dentelle, et sa couche. Je retire ma culotte en plastique, et me retrouve juste en couche avec cette fille splendide qu’est Sylvie. - je vais pouvoir préparer le déjeuner bien tranquillement, et sans aller aux toilettes toutes les deux minutes. Toi tu peux lire une BD ou faire un jeu vidéo. On vérifiera de temps en temps lequel des nous deux aura le premier une fuite... Je vois Sylvie s’éloigner d’une démarche chaloupée que je ne lui connaissais pas. Sa couche lui fait un bon petit derrière qui aguicherait tout mâle normalement constitué. Après quelques minutes passées sur mon jeu Video, je vois Sylvie qui revient au salon : - alors Julien, ça se passe bien ? - pas mal. Et vous tante Sylvie ? - Pas mal aussi..., il est temps de faire un point sur nos couches respectives, lève toi à présent. Je me lève de mon fauteuil, mais un peu brusquement, et ne peux retenir de faire pipi dans ma couche après m’être retenu déjà un certain temps.

15/ Du coup ça m’arrête dans mon élan, et Sylvie l’a remarqué : - eh eh, je crois bien que tu n’es pas loin de la fuite, Julien, approche toi donc. Je m’approche de Sylvie qui s’agenouille devant moi pour mieux voir ma couche. Elle passe la main sur mon entrejambes. - eh oui, Julien, je sens bien que ta couche est sur le point de déborder, la mienne peut sûrement tenir quelques temps encore, regarde. Toujours avec la main de Sylvie sur le devant de ma couche, je regarde celle de Sylvie qui me semble effectivement loin de la saturation. - Oui, mais je pense que vous avez une couche bien plus absorbante que la mienne. - tu as peut être raison... alors demain je mettrai une de tes couches et toi une des miennes, et on verra bien. Sylvie lâche enfin ma couche, non sans avoir appuyé légèrement sur mon sexe, déjà bien tendu par ces attouchements : - ça n’a pas l’air de te déplaire finalement ce petit jeu, non ? Je ne sais quoi répondre, mais Sylvie peut comprendre que mon silence vaut acquiescement. - allez, on va déjeuner, on reprendra le jeu après ajoute-t-elle Nous déjeunons donc, toujours équipés de nos couches. Sylvie ne semble pas gênée d’être simplement en soutien-gorge. - Il fait si lourd aujourd’hui, que ça serait dommage d’enfiler quelque chose de plus, tu ne crois pas Julien ? Me dit elle en forme de justification. Moi, je suis ravi de pouvoir admirer les seins de Sylvie que son petit soutien-gorge rose met si bien en valeur. Après le repas, au cours duquel j’ai bu copieusement (Sylvie avait apparemment salé le plat plus que d’habitude), nous nous installons au salon pour regarder la télévision. Je lorgne Sylvie du coin de l’œil et le spectacle offert par sa superbe silhouette, toujours simplement habillée de sa couche et son petit soutien-gorge rose, a sur moi un effet érotique grandissant. Rapidement, je ressens de sérieuses difficultés pour me contenir, et je commence à me trémousser sur mon fauteuil. - Alors Julien... il semble que tu ne sois plus très à l’aise... mets toi debout s’il te plait... - euh oui, tante Sylvie. En me levant, et ne pouvant plus me retenir malgré mon excitation naissante, je lâche un gros jet de pipi dans la couche, qui ne semble pas pouvoir s’arrêter. Sylvie regarde avec son sourire malicieux : - ah, Julien, je crois bien que tu es en train de perdre notre pari... Effectivement, la couche est complètement saturée de liquide, qui commence à perler sur le devant malgré le plastique de protection. - j’ai gagné on dirait, dit Sylvie en éclatant de rire. Allez, Julien, ne fais pas cette tête, demain on pourra faire la revanche... Sylvie s’approche et passe une nouvelle fois la main sur ma couche... - eh bien, elle est vraiment trempée ta couche là... oh, mais... qu’est-ce que je sens là Julien ? Sylvie a bien sûr remarqué mon érection grandissante à travers la couche. Je suis tout gêné, par la remarque de Sylvie, mais celle-ci ajoute : - Tu as peut-être envie d’un petit plaisir, dans ta couche mouillée, j’ai l’impression que tu aimes ça Julien, non ? dit Sylvie avec des yeux brillants que je ne lui connaissais pas jusqu’alors - je dois dire que tout cela m’émoustille pas mal, tante Sylvie,

16/ Sylvie augmente sa pression sur ma couche, et mon sexe grossit encore. - vraiment... tu es bien fait, je pense que tu auras du succès plus tard avec les filles - vous. Vous pensez vraiment ? Je me trémousse de nouveau, cette fois à cause du plaisir que je sens grandir dans ma couche. Sylvie s’allonge dans son fauteuil et passe sa main libre sur sa jolie poitrine, à travers le léger soutien-gorge, tout en accentuant sa caresse sur ma couche. Je respire plus fort et sens bientôt une jouissance formidable qui s’épanouit dans ma couche déjà pleine. Sylvie est cette fois complètement renversée dans son fauteuil et se fait plaisir avec ses deux mains à travers sa propre couche. Elle respire plus fort en poussant des petits cris aigus qui explosent bientôt en un cri plus rauque. Nous restons en silence un moment, puis Sylvie semble sortir de son état second en disant : - Allez, il faut être un peu sérieux, on va s’habiller et sortir un peu. - Oui, tante Sylvie, on va aller se promener, comme l’autre jour - Oui Julien, on va se promener. Nous allons nous préparer chacun de notre côté, je me débarrasse presque à regret de ma couche avant de prendre une bonne douche, et nous nous retrouvons dans la voiture. - Tu sais Julien, me dit Sylvie avec sa voix si douce, il faut que ce petit épisode reste entre nous... Tu es assez grand pour le comprendre. - bien sûr tante Sylvie Je repense au propos à peu près similaire que Chantal m’avait tenu avant que Sylvie ne rentre l’autre jour, et je me dis que ces jeunes femmes sont décidément très fortes dans l’art du double jeu. L’excursion de l’après-midi est très agréable, même si je sens Sylvie un peu moins intéressée que l’autre fois. Nous rentrons assez tard le soir, et nous allons nous coucher après un souper rapide, non sans avoir pris ensemble la fameuse tisane de Sylvie. Sylvie m’accompagne pour me mettre au lit. Elle me lange, comme tous les soirs, mais je ne suis plus du tout gêné désormais. - Je te mets une de mes couches, comme on a dit, comme ça on pourra refaire le jeu de ce matin, tu veux bien ? - Oui Sylvie, je voudrais prendre ma revanche à ce jeu. Sylvie sourit et me fait même la remarque, en voyant mon sexe prendre une dimension plutôt révélatrice au moment de refermer la couche : - Dis donc Julien, tu n’as pas l’air si fatigué que ça ce soir... Elle appuie nettement sa main sur mon sexe, avant de rabattre enfin les côtés de la couche - tu es vraiment un drôle de coquin toi, - sans doute un peu à cause de vous Sylvie - je suis tout à fait d’accord avec toi, Julien. Puis, elle me fait enfiler la culotte en plastique et me borde avec un large sourire aux lèvres. - Bonne nuit, Julien. Tu garderas bien ta couche demain matin, comme ça on pourra refaire notre petit jeu. Si tu gagnes, il faudra qu’on fasse une « belle ». - ah oui, pourquoi pas, bonne nuit tante Sylvie, je réponds, sûr de ne pas perdre cette fois-là. Je m’endors rapidement sous l’effet de la tisane, rassuré d’être bien protégé par la couche bien épaisse que je sens entre mes jambes. 17/ À mon réveil le lendemain, je tâte tout de suite ma couche pour évaluer mes chances de gagner au petit jeu que nous avons imaginé avec Sylvie. Surprise, ma couche est déjà complètement trempée. Je doute un peu du fair-play de Sylvie qui m’a fait reprendre de la tisane, et qui, si je me souviens bien, ne s’est pas resservie elle-même. Heureusement, le modèle que m’a mis Sylvie hier soir semble plus absorbant que celui que je mettais jusqu’à présent. Et je me dis que, cette fois, Sylvie aura plus de difficultés dans notre petite compétition coquine. Je descends à la cuisine où Sylvie a préparé le petit déjeuner. Elle est en petite tenue cette fois, avec juste un tee-shirt blanc pour le haut, qui lui arrive à la taille et ne cache rien de la couche qu’elle a mise pour dormir et qui me semble aussi déjà bien chargée de liquide. Je devine bien ses seins généreux qui pointent sous le tee-shirt, ce qui commence à m’émoustiller sérieusement. - alors Julien, as-tu bien dormi, me dit-elle avec son sourire enjôleur - oui, très bien tante Sylvie et vous-même ? - tout à fait bien, Julien. Tu as gardé ta couche ? Bien, montre-moi un peu ce que cela donne... Elle s’approche et baisse ma culotte en plastique : - eh eh... tu crois que tu vas tenir longtemps avec ça ? me questionne-t-elle en posant sa main sur mon entre-jambes... - On verra bien, vous avez l’air vous-même déjà... - on verra bien, comme tu dis, répond-elle en remontant ma culotte en plastique. Nous déjeunons en écoutant la météo à la radio, qui annonce un temps magnifique pour la région. - On profitera de cette belle journée pour aller faire un tour au plan d’eau cette après-midi, ça te dit ? - Oh oui alors, bien sûr tante Sylvie, j’adore nager. - ce matin je dois ranger des papiers et faire des courriers, tu pourras lire des BD ou faire autant de jeu vidéo que tu veux - d’accord, ça me va très bien comme programme - mais on est d’accord : on reste en couches tous les deux jusqu’au repas, à moins que tu ne constates que ça ne tient plus dans ta couche... Je n’ai pas ouvert les volets et nous ne serons pas dérangés. - oui j’ai bien compris, je pense que cette fois c’est moi qui vais gagner - jeune présomptueux, me lance Sylvie avec un clin d’œil. Sylvie regagne sa chambre et je la vois s’éloigner avec sa démarche si souple. Elle a des jambes vraiment superbes avec des cuisses longues et effilées. Son déhanchement fait balloter gentiment sa couche de droite et de gauche, et je pense que j’ai plus de chances qu’hier de remporter le pari. Je me plonge dans la lecture des BD, dont Sylvie raffole au point d’avoir une collection impressionnante. Passionné par ma lecture, je me laisse aller de temps en temps dans ma couche, et je me dis que, décidément, ça me procure une sensation vraiment agréable de sentir le liquide chaud entre mes cuisses. Je profite le plus possible de cette situation, où je suis dans une couche bien épaisse et avec une culotte en plastique. Du coup, je ne fais plus vraiment attention au risque que je prends pour notre petit jeu avec Sylvie... Celle-ci entre dans le salon : - ça va Julien ? tu es bien tranquille dis donc - oui, oui, tout va bien... - si on faisait un petit point pour notre jeu ? Je rougis en me rendant compte que j’ai sans doute eu tort de vouloir satisfaire à mes envies de pipi dans la couche. - oh, toi, tu n’as pas l’air tranquille, ajoutes Sylvie, approches toi donc. Je me lève et vais jusqu’à Sylvie qui s’est assise dans le canapé. Sylvie baisse ma culotte en plastique et tâte ma couche.

18/ - oh, je crois que tu as encore perdu Julien, ta couche déborde très nettement - ah bon ?

Je passe à mon tour ma main sur ma couche et constate qu’elle fuit effectivement sur le devant. J’ai vraiment été présomptueux, mais j’ai une idée qui pourrait me sauver la face : - mais, tante Sylvie, pour être tout à fait sûr, il faudrait que je vérifie aussi. votre couche... - tu as tout à fait raison Julien, vas y, je t’en prie, répond Sylvie en s’approchant. Je suis plutôt assez décontenancé par la réponse de Sylvie à mon observation qui m’est venue si spontanément à la bouche. Alors que j’hésite, Sylvie prend ma main et la pose sur le devant de sa couche : - alors... qu’en penses-tu ? Ma couche n’est pas sur le point de déborder moi. Même si elle est bien remplie déjà. on ne sent aucune humidité passer. Tu peux même appuyer un peu plus pour t’en assurer... Devant l’insistance de Sylvie, et mû par ma propre envie, j’accentue ma pression sur sa couche, ce qu’elle semble apprécier en m’envoyant un sourire coquin. - tu vois bien... - Oui, vous avez raison, votre couche n’est pas prête de déborder... Ma main s’insinue dans l’entrejambe de Sylvie et continue son exploration de façon plus insistante. Sylvie ferme les yeux et s’enfonce un peu plus dans son fauteuil, semblant apprécier les bienfaits procurés par ma main. Je n’ose pas m’arrêter et le fait de caresser l’intimité de Sylvie à travers sa couche provoque rapidement une montée du désir qui se manifeste par une forte érection. Le devant de ma couche est à présent bien tendu, d’autant que la matière absorbante étant vraiment saturée, elle a tendance à tomber au fond. Sylvie, qui entrouvre les yeux, s’en est aperçue : - je vois que tu sembles finalement bien apprécier d’être en couche aussi, Julien... me dit elle dans un soupir - j’avoue que... je ne crains pas... - Je ne peux pas te laisser dans cet état, tu es si gentil.... et si doux et puis, on a bien le droit de se faire du bien mutuellement après tout. Sylvie s’intéresse alors plus sérieusement à mon état d’excitation, m’invite à m’assoir à son côté puis se penche vers moi et pose sa bouche sur ma verge, à travers le plastique. - Tu as un sexe superbe, Julien... dit elle en gémissant doucement, on va s’en occuper mieux... Sylvie défait un peu ma couche, et l’abaisse jusqu’aux cuisses, faisant émerger ma queue que je n’ai jamais vue si grosse. - Oh que c’est bon un sexe bien tendu au-dessus d’une couche surtout... ajoute – elle en levant un regard coquin vers moi. Puis elle enfourne ma verge tout en se caressant elle-même à travers sa couche. Enfin, voyant que je suis au bord de l’éjaculation, elle se retire, défais sa propre couche, dévoilant son minou tout frisé : - Je crois que ça m’a donné vraiment envie tout ça... même si je m’étais promis de ne plus jamais rien faire avec un homme, Et elle ajoute : - Tu vas garder ta couche Julien. ça va être super bon Elle m’attire sur elle, en prenant soin que je garde la couche sur moi, juste rabaissée, avec ma queue qui dépasse nettement. Je m’enfonce en elle, dans sa caverne pleine de douceur et bien humide, tout en l’embrassant à pleine bouche et en malaxant ses jolis seins. Les va-et-vient font bruire le plastique de nos couches. Il ne me faut que quelques mouvements du bassin, je n’arrive plus à me retenir et je jouis comme jamais. Sylvie pousse un petit cri, en sentant ma semence l’inonder. Je m’écroule, épuisé, sur le corps de Sylvie, nos corps respirent bruyamment. Enfin, Sylvie émerge et me dit : - Alors coquin, ça t’a plu ? C’est mieux que le faire tout seul, non ? - Oh oui Sylvie, vous... tu es absolument superbe. - Petit flatteur va, allez, on va prendre sa douche à présent, et puis il y a tennis cet après-midi.

Conclusion

Plus tard dans l’après-midi, alors que je rentre du club de tennis, Sylvie me dit que maman a téléphoné pour me dire de rentrer à Paris, ma grand-mère est très malade et demande à me voir. - Tu as juste le temps de faire ton sac Julien, je t’emmène au train qui part dans une demi-heure. À la gare, nos adieux sont rapides, mais pleins de tendresse. - j’espère que tu as passé un bon séjour, Julien, - Oui Sylvie, vraiment géniale, merci infiniment. - et pour moi aussi, cet intermède était superbe, mais tu sais, il faut vraiment le prendre comme un intermède. - oui, bien sûr Sylvie. Nous nous faisons une bise bien chaste alors que le train commence déjà à partir, en espérant secrètement que nous nous reverrons.


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