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Jonathan, le Baby-Sitter (Septième Partie)

Dernière mise à jour : 13 mars 2021

PRÉPARATIFS PERTURBES

Il est 9h et je suis brutalement réveillé parce que le lit est mouillé.

Ma réaction est toute de suite de suspecter Jonathan mais le jeune homme est en couche et son aspect montre qu’il ne l’a pas utilisée.

Moi-même au moment du réveil, j’étais embarqué dans un rêve de bataille d’eau avec mon fils et une autre personne plus adulte ressemblant à Jonathan.

Benji avait son pistolet à eau et nous autres avions des bombes à eau que nous évitions jusqu’à en recevoir une ce qui nous électrocutait… En conséquence de quoi, avais-je moi aussi pissé au lit, je ne voulais pas envisager cette possibilité mais c’est souvent avec cette explication du rêve que Benji m’expliquait avoir fait pipi.

Étais-je ainsi perturbé par la soirée précédente et le plaisir que j’avais pris à avoir été initié aux plaisirs sexuels que je pouvais avoir avec un jeune garçon comme Jonathan ? Je ne pouvais m’y résoudre.

Je devais trouver une explication et d’abord atténuer les dégâts pour la literie.

Jonathan bougea dans le lit et se dégagea de l’emprise de mes bras. Probablement sentant l’humidité, il se décalait sur un coté du lit pour prolonger son sommeil toujours confortablement affublé de son change complet spécial nuit. Son corps gracile renforcé par la cambrure d’une couche épaisse bien en place me procurait encore une vive émotion que je voulais contenir et rapidement dissimulé et faire disparaître. J’enfilais donc un slip et je trouvais de l’autre côté du lit la serviette qui m’avait servi à le langer pour éponger le liquide d’on les effluves trahissaient bien la provenance corporelle mais on pouvait aussi supposer qu’on avait transpiré. Il faisait chaud et on avait dormi très serré l’un contre l’autre après notre accouplement.


Je me levais pour aller à la salle de bain pour me nettoyer avec le gant et me rafraîchir un peu. J’entendais Jonathan s’éveiller, se plaindre de la serviette humide qui m’avait remplacée à côté de lui. Je lui répondais qu’il fallait que je le change même si sans doute il ne comprendrait pas vraiment pourquoi en constatant que sa couche était sèche.

Mes gestes suivirent mes paroles. Je revenais de nouveau dans le lit pour faire de nouveau face à lui dans le lit, dans la position du nursing qui s’annonçait. Il se laissait faire. Je déposais avec délicatesse le svelte Jonathan en mode semi-conscient ce qui eut pour effet d’obtenir un repli de ses jambes qu’il plaqua contre son ventre.

Je commençai à tirer le drap qu’il avait réquisitionné pendant la nuit pour lui seul telle une chrysalide. C’est alors que je compris qu il avait profité de mon passage à la salle de bain pour se délester de l’envie de pipi du matin et avait inondé sa couche… J’y trouverais donc peut être là une façon de ne pas perdre la face et de le tenir responsable de l’humidité de la serviette sur laquelle il était allongé maintenant et du couchage…

Je déchirai les deux côtés du change finalement peu habitué aux attaches par adhésif comme elles se présentaient ici. Jonathan jouait le petit et recommençai son, désormais courant, suçage de pouce, ses hormones se réveillaient doucement et son zizi montrait des envies de grandeur dés que je le libérai de la face avant de la couche encore chaude…


Toujours convaincu par mon hétérosexualité, je me sentais profondément attiré par la vue de ce corps épuré (poils, marques…) et tout en fragilité du jeune adulte quasiment imberbe devant moi. La scène était extrêmement graphique avec la luminosité du matin.

J’attrapai alors deux lingettes et commençai à le nettoyer avec délicatesse – et, si je veux être parfaitement honnête avec moi-même- j’avais peine à dissimuler un plaisir certain à passer sur les parties intimes de Jonathan pensant à l’impression de fraîcheur humide que cela devait générer. Ce plaisir que j’en éprouverais, Jonathan le reflétait par son sourire ou ses trémoussements. Son sexe d’adulte était maintenant développé et de petits soupirs de Jonathan me faisaient savoir qu’il était comblé ….


Pour autant il en voulait visiblement plus. Levant ses jambes et attrapant un oreiller rectangulaire pour le placer sous ses reins, il orientait mes pressions avec les lingettes humides sur son périnée et raffolait de celle qui se rapprochait de son orifice et quand je passais dessus, les lèvres se pinçaient, le membre se dressait. Je regardais le spectacle de la vie et de l’éveil de ses sens un peu hypnotisé. Essayant de se dilater au mieux il poussa sur mon doigt qui s’aventura jusqu’au niveau de la première phalange… mon premier réflexe fut de retirer ce doigt qui s’était égaré, ce qui fit avoir un soubresaut à Jonathan. « Continue stp »

« Il n’en est pas question, ce n’est pas convenable ce que tu me demandes là et c’est même sale. »

Je le laissais là pour me laver les mains. Lui devait entendre l’eau couler… Me regardant dans le miroir je réalisais qu il voulait sans doute m’inviter au match retour. Il m’avait surpris hier et initié au plaisir des gens comme lui et sans doute espérait-il que je lui en restitue un peu de mon apprentissage, que je lui fasse pareil…

J’allais lui rendre sous une forme permettant de couper court à une situation avant que cela ne dégénère et contrarie les intérêts de tous. Je rentrais donc dans une phase de lutte contre mes penchants bisexuels, mais en avais je les armes ?

Je refermais le robinet et me retournant je passais devant la pharmacie dont l’une des deux portes étaient entrebâillée. Mon regard s’arrêta alors sur des suppositoires à la glycérine que Mathilde m’avait donné ….

Je revenais de nouveau auprès de Jonathan. La chaleur de mes mains humides le ravi et faisait renaître son excitation à peine retombée. Je pris une première ogive qui du fait de la chaleur me glissa un peu dans les mains en sortant de son emballage et ne gardait pas sa forme. Le suppositoire sous forme de purée enduisait mon doigt et servi de pommade sur anus de Jonathan qui l’acceptait. Par réflexe il se contractait comme si son orifice tentant de l’absorber. Cette fois je me prenais au jeu. Je ne résistais donc pas à l’envie de sortir un deuxième missile qui cette fois rentra dans Jonathan qui subitement franchit un nouvel état de conscience « c’est quoi ? »

« Un suppositoire que Mathilde me donne quand Beni est malade »

« Mais on traite quoi avec ? »

« Je crois que c’est quand il a une angine et qu il a de la fièvre ? »

« Mais je ne suis pas malade »

« Si lui dis je regarde le lit est trempé, tu m’as tenu chaud toute la nuit et ta couche est chargée elle aussi »

« Mais enfin c’est pas moi, ça ?! »

« Ah et qui donc ? »

« Tu le sais tres bien… je pensais que tu voulais jouer encore un peu… »

« Ah mais ça fait parti du jeu…Que veux-tu que j’aille le rechercher ou l’expulser toi-même ? »

« OK… «

« Je vais te remettre une couche si tu veux pour le petit déjeuner mais il faut rapidement le prendre néanmoins avant d’aller faire le marché et préparer le repas de ce soir… »

Je saisissais alors une nouvelle couche (jaune pour la journée) et emmaillotais de nouveau Jonathan prudemment. La couche restait déformé par son érection non satisfaite tout comme l’était la mienne dans mon slip boxer.





Nous nous levions donc et pendant que Jonathan vêtu seulement de sa couche attendait patiemment que je ne lui serve son chocolat et un bol de céréales, je lui reprécisais le déroulement de la journée heure par heure.

10h00 : Le marché, c’était déjà tard pour y trouver tous les produits et les légumes frais.

12h00 : De retour, on épluche et préparons Ratatouille et Gratin de Pomme de terre

13h00 : On déjeune de produits pris chez le traiteur « Michel » et on débarrasse pour dresser la table du soir.

14h00 : Je m’occupe du dessert pendant que lui aménage l’espace de vie dans lequel évoluera Benjamin pendant que ces parents déjeunent.

15h00 : La tarte sera faite. Je mettrais le carré de veau au romarin à précuire doucement et nous attendrons nos invités pour 17h00 en regardant la suite de Stargate.

Si tu en es d’accord, on fait ça ?

« Euh et moi je fais quoi pendant le repas ? Et bien c’est de ça dont il faut que je discute avec Mathilde tout de suite. Tu assureras le service, la surveillance en cuisine et la surveillance et distraction de Benjamin.

« Un serveur, Babysitter après avoir été un décorateur, commis de cuisine…quoi ?! »

« Oui si tu veux, c’est à ce prix que j’arriverais à expliquer dans un premier temps ta présence ici.. »

« euh… de toute façon je n’ai pas l’impression d’avoir d’autre choix »

« NON !.. «

Silence. Jonathan avale le reste de son bol de chocolat et grimace un peu. Pensant qu’il était contrarié par le NON, je complète celui-ci de « on a toujours le choix et on doit assumer un Non comme un OUI, j’assumerais mes choix comme le NON, si tu voulais faire autre chose de ton week-end que de participer à ce que j’essaie de faire pour retrouver un équilibre familial.

« Je pensais plus simplement faire partie de la famille et manger avec vous à table… »

« Ca viendra après, j’ai des choses a dire à Mathilde avant et tu pourras manger avec Benjamin sur une petite table et qui lui sert actuellement de bureau pour faire ses devoirs… »

Jonathan avale sa salive semble t’il difficilement mais hoche finalement la tête en faisant « ok, d’ac, je m’apprête » ce qui vaut acceptation. Il se lève laissant là son bol et le soin pour moi de débarrasser et se dirige vers la chambre pour récupérer ses affaires dans son sac.

Il ressort de la en salopette courte en jean et en tee-shirt blanc au col ouvert « j’y vais comme ça ! »




C’est moi qui suis alors pris de court, je vais donc passer mon pantalon de toile une chemise légère de la collection été de nos magasins et attrape panier à provisions et sac plastique pour partir au marché qui se trouve à 300m : il est 10h45, nous sommes déjà en retard sur le programme.

Jonathan me fait observer qu’il n’a pas de tennis présentable et de tenue pour servir dans un diner chic. Je le dévisage de la tête au pied et comprend que cela peut poser effectivement un problème. J’ai des affaires dans lequel il flottera et quelques produits des magasins en échantillon pour préparer la prochaine collection automne. Ils sont dans la voiture nous passerons les récupérer dans le coffre.

Il revendique de les voir avant d’aller au marché pour adapter le choix de ses chaussures en conséquence. Il pense pouvoir en trouver sur le marché et prévoit d’y investir ses derniers sous.

Nous allons donc à mon véhicule, et après un rapide tri par taille et par gout il récupère deux chemises de la future collection Zara Homme, taille M, un Chinos en toile bleu pastel et un jean Slim. Il grimace encore mais finalement semble satisfait de ses choix en me disant qu’il essayera ça à l’appartement dès notre retour de courses. Son soucis est d’être looké mais d’être aussi assorti avec la déco de l’appart plutôt en dégradé de blanc beige et marron.

« Le bleu pastel me semble être bien en effet »



« Ouais mais le jean et ces deux tee-shirt là me plaisent bien aussi… » Et il ajoute les deux tee-shirts à sa collecte sans que je ne puisse dire mot. Je crains que la collection des magasins ne soit dévoilée par anticipation mais le mannequin peut me permettre de juger de ce qui peut marcher ou pas en région parisienne et il a de l’allure au premier regard. Au second, prenant quelques pas d’avance sur moi et le suivant du regard tout en fermant le coffre, l’examen de sa démarche me révèle que Jonathan à garder la couche que je lui ai mise au réveil sous la salopette short. Revenant à son niveau je lui dis l’avoir détecté. Sa silhouette gracile balance dans ses sous-vêtements. Il me répond alors que seul moi peut le voir et que c’est bien ainsi, qu’il est évident que personne ne fait attention à lui comme moi.

« Pour un quidam ça ne se voit pas et la meilleure preuve c’est que même moi je n’ai rien vu. Personne ne capte de toute façon »

Je le dissuade du contraire. Il a un joli minois. Une élégance naturelle sur ce trottoir se dégage et la lumière lui est favorable. Je suis fier de la façon dont il assume soudainement ses premiers choix de vêtements, de sexualité,… je me doute que c’est précaire et qu’il va falloir tâtonner mais n’est-ce pas le début de l’apprentissage de la vie. On apprend tus les jours et n’ai-je pas appris de lui hier soir. L’ensemble des possibles et possible il faut croire.

« En portant les fringues de ma marque de magasin, il te faudra juste être le plus discret »

A ce moment nous rentrons dans les allées du marché et il faut trouver les ingrédients du menu du soir. Rapidement je trouve la viande chez mon Boucher, puis les menus traiteurs pour le midi. Mon primeur a les aubergines, courgettes, tomates qui feront ma ratatouille mais c’est trop tôt pour les abricots que je veux mettre sur ma tarte, le fruit préféré de Mathilde. Je dois me rabattre sur les premières fraises françaises. Jonathan me suit dans mes achats pourtant je le sens préoccupé. Je le pense en quête des tennis qu’ils voulaient assortir à sa tenue et effectivement il trouve deux vendeurs qui vendent visiblement des contrefaçons en marge des allées du marché couvert. Il fait vite son choix mais pour autant me dit ne pas avoir le temps de les essayer. J’insiste donc mais rien n’y fait Jonathan se dit pressé. Il me laisse même payer le vendeur et revenir à son niveau avec l’achat.

C’est alors je comprends ce qui se passe et Jonathan me le confirme par un « Je n’ai pas pu me retenir ». Pauvre de lui, les grimaces c’était donc ça. Il m’explique avoir des crampes intestinales depuis qu’on est sorti de l’appart qu’il pensait que ça passerait et moi je comprends que le suppositoire administré à produit son effet. Il s’agissait en fait des suppositoires à administrer quand Benjamin est constipé et non ceux pour les angines accompagnées de fièvre…

Les courses sont pratiquement faites. Il me reste à prendre un peu de crème fraiche d’Isigny et 2/3 fromages pour le diner dont le « Petit Chevrou », fromage préféré de mon fils… Jonathan m’attend à distance. Puis nous rentrons en hâte à l’appartement, sa démarche trahit sa gêne de marché avec du contenu nauséabond dans la couche. Je lui propose de monter à l’appartement par l’escalier mais ça ne lui parait pas possible. Il rentre donc par l’ascenseur non sans laisser Mme Tassart descendre, la vieille du 1er étage, qui nous regarde avec une moue.

3 étages en ascenseur avec Jonathan en couche sale, me parue long. La couche de jour n’assume pas suffisamment sa fonction. Jonathan se tort encore dans l’ascension et dans un pet sans bruitage, il s’acquitte d’une deuxième livraison dans la couche. Nous sortons de l’ascenseur en panique. Je comprends l’urgence de désarmer les deux verrous de la porte d’entrée et Jonathan rentre dans l’appartement avec du liquide coulant le long de sa cuisse. C’est peu glamour. Il file dans la salle de bain. Je ne peux m’empêcher d’en sourire mais le gamin que je retrouve dans la baignoire, pleure de nouveau et s’écœure du spectacle qu’il offre en détachant les bretelles de sa salopette. Il grimpe en même temps dans la baignoire et son change est rempli, il est passé du jaune au kaki. Je ne peux que revoir mon opinion quant à son choix d’avoir voulu garder son change complet pour aller au marché. Il avait eu raison dans son choix d’instinct. La couche tombe avec l’eau qui continue de remplir et imbibe la ouate. J’évacue le change et Jonathan glisse le rideau de douche pour se défaire de ce qu’il garde sur lui.

Je nettoie le sol en attendant qu’il sorte de la baignoire mais il a fini par remplir la baignoire et prendre un bain sans dire mot, rideau de douche fermée. Je l’entends juste « chouiner ». Je reviens vers lui avec la bombe désodorisante. Nous sommes tous les deux penauds. Lui parce qu’il a honte et me dit garder l’odeur dans le nez et moi parce que je lui ai infligé le laxatif à l’origine de son malaise.


Je ramasse les affaires sales et enfourne tout dans la machine à laver à 60° en le laissant barboter et récupérer. Pendant que je reprends le programme de la journée, je l’entends chantonner du Celine Dion « On ne change pas… »


Il faut éplucher les légumes et faire la ratatouille et la tarte pour le soir…


Il est 12h30 et après 45 minutes dans le bain. Jonathan revient vers moi dans la cuisine en slip cette fois

« Où tu as mis mes affaires, il faut que je fasse les essayages…

« Es-tu sur d’etre bien purgé de ces maudits suppositoires avant ? »

« Oh oui, je crois bien que c’est bon et ce bain m’a calmé et la douche froide derrière m’a revitaliser. Maintenant je dois reprendre mon rôle Jonathan Babysitter acte 3 ! »

« Bien … regarde sur les courses sont dans l’entrée »

J’ai alors droit à un Jonathan virevoltant qui s’amuse à defiler devant la porte de la cuisine avec le Jeans : « il est super bien coupé et me fait un joli petit cul »

« Soit … »

Puis avec le Chino bleu pastel : « Celui-ci est le deuxième à m’adopter apres toi aujourd’hui. »

« Preum’s… »

« La chemise tu préfères dessus ou dans le pantalon ? »

« Dessus que si tu portes tes couches… »

« Pff, t’es con ce soir, il n’est pas question de ça… »

3 minutes plus tard : » celle-ci est trop orangée pour aller avec le chino et ton intérieur, je la garde pour mettre avec mon jean »

« Merci qui ?.. »

Il repasse la tête « Merci Daddy Pierrick !!! »

Il faut bien dire que la présence de Jonathan redonne un peu de vie dans mon intérieur et en faisant mes préparations culinaires j’en oublie presque les enjeux de ce soir. Jonathan arrange les rideaux et dresse la table en me demandant où est la nappe, ou sont les assiettes et les couverts mais je suis le rythme.


Il aménage la chambre pour dîner avec « Benji » et la perspective de passer la soirée avec, la partie des choses la plus facilement assumé car la plus maîtrisée. Les jeux vidéo sont atteints et Jonathan a même confectionner son couchage et n’aura qu’à tirer le matelas qu’il a fait glisser sous le lit de Jonathan pour dormir dans la chambre avec son petit frère.

A 14h45 ma tarte aux fraises reçoit sa touche finale et nous sommes prêts. J’appelle Mathilde pour lui dire que tout va bien et que Jonathan viendra bien garder Benjamin pour la soirée et que les deux garçons resteront isolés dans la chambre de notre fils le temps pour nous d’échanger un peu plus sur notre vie.


« Très bien, me dit-elle, et Nassim ? ».


Je lui chuchote alors de ne pas l’évoquer et que je ne peux pas en parler au téléphone maintenant. Elle ne comprend pas trop. Aussi je lui dis que je lui en dirais plus pendant le repas mais que de ne pas évoquer le sujet devant le babysitter.

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