Retour de bâtons du ski
- Danette
- 17 mai 2020
- 21 min de lecture
Dernière mise à jour : 22 mai 2020
C’est à 18 ans que j’ai eu « La révélation » d’un plaisir que je juge encore peu ordinaire mais dont je m’accommode bien depuis.
Le point de départ :
…Il faisait froid dans les Vosges et c’était bientôt noël. Je remontais le petit Artimont avec la perche entre les jambes en regardant les autres descendre la piste sur ma droite et sur ma gauche un autre télésiège remontait à plus vive allure.
Je hélais mon pote Frédéric qui surfait sur une poudreuse de rêve
« Attends-moi en bas on va se faire le mur du chevreuil ».
Je n’avais jamais pu me mettre au surf… j’avais essayé mais j’étais trop souvent tombé pour continuer de revenir couvert de bleus qui m’empêchaient de profiter pleinement de mes séjours au ski.
Cela avait l’air facile en le voyant… le télésiège s’arrêta, sans doute quelqu’un derrière avait lâché la perche ou avait du mal à la prendre. D’autres surfeurs, d’autres skieurs descendaient et j’admirais leur style. J’étais sensible à la silhouette des skieurs cambrés et généralement dans des tenues plus prés du corps que les surfeurs.
Ma combinaison noire avec le haut beige était quant à elle devenue un peu juste, je m’en étais aperçu en l’enfilant le matin même. Ma mère m’avait dit que si elle ne m’allait plus je pouvais en acheter une en station. Celle de mon cousin Julien était super. Elle mettait en évidence sa force athlétique et sa silhouette pourtant fine. Lui vivait dans les Vosges depuis le divorce de ses parents il y a dix ans et faisait de la compétition à haut niveau. D’ailleurs on ne pouvait pas le suivre et il préférait partir seul et nous compter ses exploits le soir quand nous étions en train de manger au prés du feu. C’était le moment que je préférais. On se refaisait les pistes et leurs difficultés, les chutes et on envisageait le programme de la journée d’après.
Ce soir ma tante, nous préparerait une fondue au munster pour nous remettre de notre première journée de ski de la saison…J’en salivais d’avance mais ce télésiège ne redémarrait pas. Frédéric devait m’attendre, des skieurs l’abandonnaient pour rejoindre la piste la plus proche car cela s’éternisait trop à leur goût. Au mien aussi, mais je ne pouvais faire de même sans avoir l’air con car j’étais entre les sapins et sur une partie très inclinée. Si je quittais la perche je dévalerais la pente sur le dos. L’ennui est que j’avais une envie de pisser qui ne me quittait pas. Je m’étais juré de me soulager en haut dans le sous bois mais là ça devenait urgent.. il fallait prendre une décision rapidement… Le télésiège l’a pris pour moi car en redémarrant je fus désarçonné et je glissais sur 30 mètres. Ca faisait bien 5 ans que je ne mettais pas « crouter » d’un tire fesses et ça faisait bien autant que je n’avais pas mouillé ma combinaison de ski de l’intérieur. La honte et la panique…
En chutant mon sphincter avait lâché et je me relevais plein d’un liquide chaud au niveau du bas ventre qui me descendait entre les jambes lorsque je me remis debout. Je ne pouvais continuer comme ça, je sais ce que ça allait faire ensuite...
Quelques années en arrière il m’arrivait souvent lorsqu’il faisait froid de ne pas pouvoir me retenir (je cherchais toujours un coin où on en voit pas mon « petit oiseau », attendait d’être dans une auberge et le temps de déchausser les skis et de me diriger vers les WC dans une démarche très empruntée à cause des chaussures de ski et chaloupée à cause de cette envie urgente, je me mouillais les mains et toute la combinaison au mieux quand le coup n’était pas déjà parti dés l’entrée dans la salle de restauration. Il m'était même arrivé une fois de faire caca dans ma combinaison à 8 ans et j’en entendais encore parler.

Là j’en avais le double, mon bas ventre était inondé, le caleçon était saturé vraisemblablement et si je continuais à skier en disant rien ça ne me tiendrait pas chaud longtemps, le pipi gèlerait rapidement et surtout lorsque je retirerais la combinaison le soir, si mon cousin repérait l’odeur ou la couleur de mon caleçon d’hiver et il ne manquerait pas de recommencer ces railleries…. Que faire ? Je descendais machinalement vers le bout de piste au pied du télésiège que je venais de quitter.
Fréderic m’attendait prêt à reprendre le télésiège. Je lui expliquais que j’avais du lâcher le télésiège juste avant qu’il ne reparte et couper à travers les sapins ce qui expliquait la neige sur mes vêtements et que ça m’avait rendu « vénér » (énervé), que j’en avais assez pour un premier jour de ski et je voulais rentrer. Il me demanda une dernière descente car il n’étais que 16h et les pistes ferme à 17… et j’accédais à sa requête. Sur le télésiège il me parlait de ce qui avait provoqué la panne. Un monsieur qui voulait faire prendre le téléski à sa femme pour la première fois et qui l’avait suivi et celle-ci avait lâché au bout de 20 mètres en provoquant sa chute…classique. Moi j’avais mon slip qui me collait et commençait à refroidir et pour le reste, la combinaison jouait son rôle et absorbait ce qu’il fallait.
Frédéric me proposa de passer au magasin de location pour acheter un masque car il neigeait à petits flocons et ca le gênait et pour faire régler ses fixations. Je lui dis « OK » puis il ajouta « d’ailleurs on pourrait en profiter pour acheter la combinaison que tu voulais acheter ? » …
Désastre ! En haut du télésiège un deuxième pipi que je ne pouvais arrêté profitait du confort du premier…Je lui dis plein de cette nouvelle émotion que « ce n’était pas le moment ! » d’ailleurs je n’avais pas pris d’argent pour ça. Ce qui me sauva d’une déconvenue… on descendait donc la dernière piste de la journée et le mur du chevreuil me parut un enfer.
Dans la boutique on matait les combinaisons… en rigolant Frédéric me dit « regarde, le mec qui essaye la jaune la bas ça lui fait un gros cul on dirait un bibendum tellement c’est rembourrer de partout et la couleur renforce l’effet grossissant dont n’avait pas besoin le gars». Les achats faits, nous revenions à pied à pied au chalet de ma tante en laissant les affaires ski et chaussures de ski dans le casier loué. En relaçant mes baskets, je sentais le pipi.
Ma tante avait été d’accord pour que je vienne avec mon pote à condition qu’on partage la même chambre car Julien, mon cousin de 5 ans de plus que moi, avait maintenant ça chambre personnelle ou il recevait quelquefois sa petite amie et n’acceptait plus de dormir dans le canapé. Du reste ils en avaient changé et celui-ci n’était plus convertible. Ca ne me dérangeait pas à priori même si je savais que Frédéric pouvait ronfler aussi fort que mon père. Dans le train qui nous avait amené j’avais déjà eu une démonstration et ça s’était confirmé la première nuit. Je lui avais dit et il m’a expliqué que il fallait le retourner sur le ventre car il avait un rhume qui l’obligeait de respirer par la bouche.
Là le problème était tout autre j’avais pissé dans ma combinaison et je ne voulais pas que personne ne le voit, laver ma combinaison et la faire sécher sur le radiateur.
Frédéric prit d’assaut la salle de bain attenante à la chambre pour prendre une longue douche pendant que moi je me dévêtis prudemment. Ma tante me demanda du bas des escaliers si la combinaison m’allait toujours car ma mère l’avait appelé pour qu’elle aille m’aider à en acheter une (pas trop chère et pas trop voyante ce qu’elle craignait). Je lui répondis à travers la porte que j’en achèterais une demain après la journée de ski. La combinaison sur le sol sentait la journée d’effort et rien de plus à mon gout. Je la mettais à sécher sur une chaise prés du radiateur et Frédéric sorti de la salle de bain en slip blanc et torse nu. Comme je l’avais pensé il s’était branlé sous la douche et me péta son score 2’24 ce qui n’avait aucun sens ça faisait 20 minutes qu’il était dans la salle de bain et on n’avait pas donné le top départ de ce concours de branlette auquel on s’adonnait à la piscine habituellement dans notre cabine respective. Je lui dis que je n’avais pas le cœur à ça en passant devant lui pour prendre sa place. Il me dit alors « au moins lave toi bien car tu sens fort, mon salaud. Je t’attends en bas j’ai promis à ta tante lui installer sa webcam sur son ordinateur ».
Mes sous vêtements me trahissaient mais ils étaient noirs en fait ce jour là et donc sans marques visibles…il n’y fit pas attention.
15 minutes plus tard me croyant seul je rentrais dans la chambre tout propre et nu comme un ver. Frédéric m’attendait assis sur le lit. « Alors tu as fait combien ? » décontenancé je me mis à rougir et lui répondais que je n’avais pas joué. Il comprit « joui » ce qui revenait au même sauf que je n’avais pas essayé. « A monsieur peine à jouir »…et il fit signe de me taper sur le zob ce qui me fit lâcher mes sous vêtements sur le plancher. Ils étaient humides et je les avais lavé. « pourquoi c’est humide ? tu laves tes sous vêtements ? » je lui répondis que c’est ceux que je préférais parce que les plus chauds pour skier ce qui était vrai. Je les disposais prêt du radiateur à coté de la combinaison. Puis nous descendîmes en bas ou mon cousin venait lui de rentrer « alors les jeunes ? Cette première glisse ? Elle est bonne non ?.... »
Et toute la soirée ce fut les exploits de Julien sur les pistes, puis les copines de Julien puis les aspirations de Julien….Je montais rapidement me coucher après le verre d’eau de vie de Mirabelle et le couplet de ma tante sur l’enfance de Julien et le fait qu’il était toujours en avance sur les jeunes de son âge…j’enfilais mon pyjama et me couchait non sans avoir contrôler que mes vêtements seraient bien sec demain…
Frédéric me rejoignait une bonne heure plus tard…j’avais chaud dans ce chalet de bois et n’avait pu m’endormir mais lui croyait que je dormais et rentra prudemment, se déshabilla puis me rejoint dans le lit. Il bandait après avoir mis son pyjama et je l’avais vu à contre-jour il commença à se masturber et moi aussi je me mis à avoir une érection. Je lui dis d’arrêter de faire bouger le lit… sans la moindre honte d’avoir été surpris il me proposa un nouveau concours… avant que je puisse dire non il constata mon érection et commença un va et vient. J’ôtais sa main en le traitant de sale pédé et je terminais tout seul avant que lui n’arrives à son extase. « alors je suis un peine à jouir ?… il me répondis normal moi j’ai déjà fourni tout à l’heure ». Puis il se cambra et éjacula abondamment. « L’air de la montagne me fait du bien. ».On bavardait un peu et j’espérais que ma famille ne l’insupportait pas trop entre mon cousin arrogant et prétentieux et ma tante qui entrait dans son jeu et qui était fier de son fils, « trop gentille » et mielleuse… il me raconta la suite de la discussion qui me surpris…

Elle en était venu à lui avouer que elle n’était pas dupe et que son « petit chéri » n’était en fait doué que pour le sport, qu’il ferait un bon militaire comme son père mais qu’il n’était pas intellectuel ou artiste. Il connaissait rien à l’informatique, ne s’intéressait pas à la nature mais lui rendait des coups de mains pour entretenir le chalet hors saison de ski car pendant cette période on ne pouvait rien lui demander et généralement ses copines s’en plaignaient avant de le laisser tomber juste après les fêtes en lui ayant souhaité une bonne année.
On approchait cette période et elle avait peur pour son « petit chéri »
« ah bon, faisais je mais je croyais qu’il était avec Christelle depuis longtemps ? »
« ca c’est une autre bizarrerie. Il s’avère que ça fait Trois nanas de suite qui s’appellent comme ça ..ta tante les appelle par numéro d’ordre Christelle 1, Christelle 2 et Christelle 3…» je rigolais pendant que Frédéric avait les jeux ronds et restait de marbre…Ta tante m’a resservi un verre de sa mixture de mirabelles et en a pris aussi un et elle m’a confié que julien avait marché tôt, avait parlè tôt, avait trop vite grandit mais avait une bizarrerie de gamin… Il fallait lui couper sa viande, lui préparer ses affaires… il demandait à sa mère des câlins.. Comment ce garçon de stature athlétique pouvait avoir ce second visage ?. Nous en rigolions avant de nous endormir pour affronter une nouvelle journée…
Le lendemain matin une chose bizarre c’était produite, le lit était mouillé en son milieu. L’un de nous deux avait pissé au lit, il n’y avait pas de doute et je pensais bien que c’était moi. Réveillé avant lui je culpabilisais… avais je mouillé mon lit comme je le faisais autrefois dans un rêve ou un autre. Devais je ça à mon incident de la veille… j’en avais la terreur. Je courrais à la salle d’eau pour chercher des serviettes éponges et sécher le matelas afin que Frédéric ne s’en rende pas compte. Il se réveilla une demi-heure plus tard alors que je me brossais les dents. Je l’entendais bouger sur le sommier et me lancer un « ça sent la brioche chaude… je descends. Il alla aux toilettes et effectivement descendit l’escalier directement d’un pas pressé. Je profitais pour ouvrir les volets refaire le lit ce que je ne faisais jamais. Une trace jaune pale pouvait se fondre avec les draps en tissus jaunis de ma tante… Je descendais donc, Frédéric s’était déjà habillé. Nous mangions le petit déjeuner confectionné avec amour sans un mot puis nous nous habillons pour affronter les pentes avec une tenue chaude car ce matin là il ferait froid et ça devrait se dégager dans la journée… ma combinaison avait séché et une odeur émanait mais rien de trop surprenant au ski… en partant je n’étais pas rassuré mais je donnais rendez-vous à ma tante au magasin de sport pour choisir une combinaison avec son aide à 17h30 en fin de journée.
La journée se passa sans trop de difficulté j’avais pu pisser plusieurs fois dans les sous bois et une fois de façon un peu extrême. Frédéric profitait aussi de mes haltes régulières pour assouvir les mêmes besoins. Les « j’ai la queue gelée… » et « j’ai les marrons glacés… » ponctuaient chacune de celle-ci…Le soir ma tante vint nous rejoindre pour diriger mon choix de la nouvelle combinaison, l’ancienne était resté sèche et heureusement.
Elle regardait les combinaisons fortement rembourrées dont on avait rigolé la veille…je voulais une tenue simple et kway pas trop épaisse. Elle ne voulait pas cautionner l’achat qui lui semblait « hors de prix » pour une activité saisonnière et pour des gamins comme nous qui ne font attention à rien… finalement je pris une combinaison bleue qui était en solde et qui était un bon compromis… l’ouverture facile me permettrait de dégainer rapidement même si je n’avais pas la silhouette Frédéric qui portait une combinaison verte et mauve très sympa et regardait la scène avec le sourire en me faisant des gestes en guise de conseil.
Nous remontions dans la voiture et ma tante plaça nos achats dans le coffre. Quand nous sortîmes nous étions de nouveau hilares et complices à cause de quelques riverains qui utilisaient la machine à déneiger pour mettre celle-ci dans la cour de l’autre… je pris ma combinaison neuve avec hâte et ma tante sorti un autre paquet qu’elle tendit à Frédéric pour qu’il le porte jusque dans le chalet et auquel il ne fit pas attention tout se suite.
Quand nous arrivions au chalet ma tante dit de mettre tout dans la chambre. Et elle nous rejoignit alors que je m’apprêtais à essayer de nouveau ma combinaison…
« Puisque vous avait l’air de vous entendre comme des compagnons en foire, je pense que vous saurez solidaire pour respecter ma literie car « l’un de vous a du avoir un problème cette nuit… » J’avalais de travers et m’arrêtais net… Frédéric faisait lui aussi la grimace et fronça ses sourcils bruns et fournis et écarquilla les yeux. « Comme j’ai trouvé pas très bien fait le lit que la veille vous n’aviez pas fait et que j’ai l’habitude de les faire dans la maison, j’avoue avoir été surprise en le retapant de découvrir de belles taches sur le drap house. Alors je ne sais pas si vous vous en rendez compte mais le matelas souffre de vos pollutions nocturnes dont je ne sais pas si elles sont de votre age…aussi je vous propose une chose… » Elle sortit alors du paquet qu’elle avait confié à Fred … deux changes complets. C’était en fait un paquet de couche pour adulte écrit « Tena taille medium ». Elle en déplia une pièce. Tout aussi gêné que nous sans doute, elle poursuivit comme pour nous rassurer « … j’ai l’habitude, ton cousin en a mis longtemps et m’en demande lorsqu’il fait trop froid sur les pistes. Aussi je vous laisse l’initiative de vous en servir si vous en avait besoin. Mais je ne tolérerais pas de trace sur mon matelas. D’ailleurs j’ai mis une alèse dessus et j’ai changé les draps. Qu’ils restent blanc et ne souffrent pas de ces caprices ou de ces plaisirs dont je ne sais pas lesquels sont de votre âge… je vous laisse en discuter. » J’étais rouge de honte et n’osait pas regarder Fréderic. Ma tante ferma la porte… et Frédéric alla directement dans la salle de bain … que pouvais-je dire ? je le suivais pour lui confier mon embarras et mes doutes et quand je le rejoignais… il pleurait. Je pensais qu’il se moquerait et rirait mais non … et la j’étais complètement bluffé. Il me dit « j’ai pissé au lit cette nuit, je ne comprends pas ce qui m’est arrivé j’ai remarqué que mon pyjama était mouillé mais le matelas semblait sec quand je me suis levé et quand on est parti tu avais fait le lit je pensais que c’était « ok ». Son pyjama était trempé et odorant, il me le montra et il montrait des traces suspectes de nos jeux et de son incident nocturne. On le mit sur le radiateur… et je lui racontais mon incident de la veille… « toi c’est classique ça m’arrive aussi mais bon… si j’avais pissé dans ma combinaison il était clair que lui était à l’origine de la décision de ma tante d’acheter des couches pour nous deux.
Un long silence s’en suit… Il reprit la parole alors que je ne savais plus quoi dire moi qui croyait être le pisseux de la nuit … Tu crois qu’il faut que je mette ça cette nuit ?... puis après deux longues minutes « ça t’embête si je mets une couche ?... bah non… enfin… je ne sais même pas comment ça se met… » On trouva et tourna ça en dérision… puis on lui essaya. Il s’assit sur le bord du lit et il passa la couche sous son cul rabattit le devant sur son robinet qui s’érigait en un sexe et il ferma la couche avec les scratchs comme si il avait fait ça toute ça vie. J’oubliais qu’il avait un petit frère et une petite sœur du deuxième mariage de sa mère et qu’il avait du les changer. Il me l’expliqua…Ca lui allait…. Sauf que il avait du mal à confiner son sexe dedans. Je trouvais ça tellement incongrue comme situation être avec mon pote en couche chez ma tante. Nous descendions plus tard… ma mère avait fait une soupe épaisse et une potée lorraine. Frédéric s’excusa auprès de ma tante et mon cousin lui demanda si il fallait qu’il nous explique comment faire…Ma tante et lui était surpris il pensait que c’était moi le fautif et je compris plus tard que c’était mon cousin qui l’avait suggéré sans doute pensant se moquer de moi. Frédéric répondit que nous étions d’accord pour qu’il porte une couche cette nuit et qu’il en avait déjà essayer une.. Qu’il la portait sous son jean. Mon cousin lui conseilla de l’ôter pendant la soirée qu’elle était ré ajustable…il lui montra comment mais Frédéric la garda. Je compris plus tard qu’il voulait tester avant la nuit plus tard.
Ma tante me demanda si moi aussi je comptais en mettre… la question me déconcerta.. et je ne répondis pas… j’insiste car ta combinaison montre que toi aussi tu aurais intérêt à en mettre et il y avait des traces sur toutes la largeur du lit. Elle devait là faire allusion aussi aux traces de notre concours juste avant de se coucher…. Jérôme non confia que sa mère avait pris très tôt l’habitude de détecter les traces de semence et attachait beaucoup de soin à sa literie…. Que sa mère détectait facilement ces problèmes ou ses exploits qui pour lui se manifestaient surtout en compétition ….gloups je ne bronchais pas… le soir après la soupe ni l’un ni l’autre n’avions vraiment envie de remonter dans la chambre. On montait et on se couchait en même temps que toute la maison. Frédéric enleva son jean et me montra alors que sa couche était trempée lourde de son urine. Il se langea une deuxième fois devant moi… puis pour alléger l’ambiance me demanda s’il devait m’aider en me faisant un clin d’œil… Je compris que ça l’arrangeait si j’en portais une aussi et je pris une couche, la tournait sous tout les angles… « Allonge toi ». J’opérais, il tira mon pyjama et me langea… on remet le pyjama… à moi aussi ça m’allait bien… j’ai juste eu le temps de me planquer sous les draps quand ma tante frappa a la porte « c‘est bon les garçons… puis elle entra.. Frédéric n’avait que sa couche sur lui. L’autre gisait encore par terre. « je vois que tu t’es familiarisé avec… » et elle amenait un pyjama pour remplacer le sien…en molleton.. ; elle m’en avait amener un aussi « ça sera plus confortable… »
Elle attendait; je veux contrôler que tout ira bien… je me levais donc et changer de pantalon de pyjama montrant que moi aussi j’avais la couche sur le cul. Pour un pantalon en molleton lui aussi que je reconnaissais comme ayant appartenu a mon cousin…je m’en était moqué quelques années auparavant.
Nous nous couchions là encore sans un mot mon cœur me faisait mal tellement divers sentiments me traversaient… Frédéric s’agitait, se retournait et faisait du bruit…il s’endormait. Plus tard dans la nuit il s’était réveillé et avait couru dans la salle de bain, il avait pissé dans la couche…
Ca va ? lui fis je ? Non j’ai de nouveau pissé de façon involontaire… j’ai eu peur que la couche ne tienne pas…mais la couche n’avait pas « transpiré »
Bah c’est pas grave lui fis je en le posant la main sur le devant de son pyjama qui confirmait son incident nocturne… »Ca va » fis je en inspectant la literie « .., elle a eu raison.... ça tranquillise ma tante et toi ça t’évite la honte..
Tu ne te rends pas compte elle va le voir comment vais-je faire… que vas-tu penser de moi et est ce que ça va durer longtemps ? Si je me remets à pisser au lit toute les nuits je vais faire comment rentré chez moi ? T’inquiète je te trouve cool et tu resteras toujours mon pote…je le pris par les épaules, il avait les larmes aux yeux mais appréciait se rapprochement. Dans la glace se reflétait la complicité de deux grands frères qui avaient trop vite grandi en couche. Dans la mienne se passait autre chose… ma teub était à son tour à l’étroit.
« Tu as raison c’est mieux pour tous… tu as réellement pissé dans ta combinaison hier, tu n’as pas dit ça juste pour me rassurer ? »
« Bah ouais » je lui rétorquais…
« Tu aurais pu me le dire plus tôt… »
« Et toi tu me l'as dit peut être ? lui dis je en retournant brusquement dans le lit pour éviter qu’il ne voit mon émoi…
Il se coucha de nouveau avec la couche usagée « oh… ! c’est pas grave de toute façon on ne va pas le chanter sur les toits…
« Tu ne te changes pas ? » lui fis je ?
« Change moi dit il… » Je pris alors un nouveau change complet dans le paquet et le changeait… Il commentait que ça lui faisait drôle mais qu’il trouvait ça très agréable. La couche usagée était très lourde ça m’excitait encore. Ma couche était sèche mais je bandais tellement dedans que la ouate s’était reparti et au travers on voyait mon sexe turgescent. En bougeant un peu elle se dégrafa et mon sexe pointa. Je rattrapais le coup et je me tournais pour ne pas lui faire face et lui dis bonne nuit. C’est alors qu’il se blottit contre moi et ait venu me faire un bisou dans la nuque en me disant « merci ».
« T’es con » lui dis je… « merci de quoi ? »
« Merci de comprendre, merci de là merci d’être cool… » il m’appuya alors sur le devant de ma couche et devina mon émoi…. Il me demanda alors si on pouvait faire un concours… je répondis que non mais il glissa alors sa main dans ma couche à peine raccroché par l’entrecuisse et me prit ma teub… ça me faisait plaisir et je n’osais rien dire… il me branla doucement jusqu'à ce que j’inonde a mon tour la couche d’un liquide plus visqueux que le sien lorsqu’il retira sa main elle était poisseuse…il me demanda de faire pareil…. Je n’osais pas mais je lui devais ce plaisir fou qu’il venait de me faire…. Il gicla à son tour dans sa couche… et nous nous endormirent… le matin il était de nouveau mouillé et moi pas… ma tante vint ouvrir les volets et observant nos couches car nous n’avions pas remis nos pyjamas… déclara et bien je vois que ça n’a pas été difficile mais au contraire utile de passer cette nuit en couche…. Je descendais en me débarrassant de ma couche et Frédéric me rejoint.
Ma tante nous demanda si on avait passé une bonne nuit nous répondions que oui et unanimement disions ne pas regretter d’avoir remis des couches. Nous plongions dans nos bols…puis grimpions nous mettre en tenue. Mon cousin nous attendait t il était sur les pistes pour nous donner un cours de slalom.

A l’heure ou nous repartions sur les skis nous ne disions mot de nos plaisirs de la nuit. Juste Frédéric m’avait tendu une nouvelle couche pour mettre sous ma nouvelle combinaison. J’allais connaître de nouvelles sensations dans ma nouvelle combinaison avec une couche en dessous. En fin de matinée quand enfin on s’arrêtait de skier nous nous avouâmes deux choses. Nos couches étaient pleines et nous devions nous en débarrasser et la nuit d’avant avait révélé notre attachement mutuel. Nous avions tous les deux envie de nous retrouver cette nuit sous la couette dans notre nouvelle couche.
Dans l’après-midi après les cocas et vin chaud je baptisais d’urine ma nouvelle combinaison et je prenais la décision que le lendemain je partirais avec un change dans le sac a dos Le soir ma tante le détecta et nous demanda pourquoi il y avait déjà plus que 16 couches sur 22 dans le paquet…
Je lui expliquais et elle me demanda si il faudrait en racheter pour le séjour… Jérôme pris alors la parole « de toute façon si il y en a de trop je les utiliserais bien moi puis se retournant avers moi ajouta attention de ne pas y reprendre trop gout vous aller devenir addict… ».
En nous couchant ce soir là, Jérôme est venu dans la chambre. Je me brossais les dents et Frédéric était aux toilettes pour la grosse commission. IL me demandait si on avait mis nos couches lors de notre cours de slalom du matin… il faisait diversion et j’observais dans le reflet de du miroir qu’il prenait une couche dans le paquet. Nous serions sans doute 3 garçons de plus à passer la nuit langé. Il me tapa sur les fesses constata qu’effectivement j’étais en couche et me dit bonne nuit. Je lui dis « toi aussi »
Frédéric ne dissimulait pas son plaisir d’être de me voir lui mettre sa couche avant d’éteindre la lumière. Je découvrais mon pote et je me découvrais aussi une tendresse pour ce garçon avait qui j’avais jusqu’ici quelques coups pendables mais j’étais resté sage et jusqu’ici on parlait de fille …
Or de nouveau au milieu de la nuit il s’éveilla et m’enlaça…je me laissais faire. « Mouille ta couche me dit il »
Je ne peux pas je bande lui répondis je. Il s’éloigna de moi puis me dit attend que ça passe et pisse tu vas voir comme c’est bon…
Effectivement sur le dos je sentais ma pisse me couler de part et autre de mon sexe à peine ramollit. Il contrôla avec sa main mon sexe reprit de la vigueur aussi tôt. « Ton sexe m'a toujours plu avec son grain de beauté.. Mais là je te trouve craquant. J’étais troublé j’avais aussi envie de l’enlacer… je le fis, sa couche était pleine mais pas surchargée.. Il se mit alors à parler dans la nuit… un flot de parole que je ne pouvais pas maitriser. Il devenait incontinent de révélations que je ne soupçonnais pas et qui était une révélation pour moi. Je ne répondais pas mais tout ce qu’il disait était juste et m’affectait bizarrement comme si je n’attendais que ça… j’étais immobile et chaud tendu comme une arbalète. Il s’arrête brusquement après « je crois que je t’ai toujours aimé et que tu aimes ça… »
Ensuite rien ne pouvait être contrôlé… il se pencha sur moi et m’embrassa, s’assit sur moi et fit des va et vient sur mon sexe droit dans la couche ouaté et chargé de mon urine. Nous étions en train de nous donner pour la première fois sans contrôle aucun.. ; excité par la chaleur nous quittions nos hauts de pyjama et avancions irrémédiablement vers un nouveau plaisir inédit. Quand au bord de l’implosion il s’arrêta pour un autre baiser j’entendis du bruit dans le couloir. Jérôme allait aux toilettes nous l’entendions péter dans la cuvette. Je dis alors à Frédéric que je l’avais vu prendre une couche dans le paquet… il me dit » ça ne m’étonne pas. Il crevait d’envie en m’expliquant comment l’ajuster hier. Je l’ai vu, il bandait. » il se remit sur le dos, je lui demandais si il regardait tous les garçons au même endroit comme ça. Sa réponse fut sans appel « de plus en plus souvent mais je pense souvent à toi… »
Il chercha alors à dégager mon sexe de la couche avec sa main fine et tremblante… approcha sa bouche et enfourna mon sexe dans sa bouche pour me sucer timidement. Je lui dis d’arrêter.. mais rien n’y faisait, il me caressait en faisant ça… mon plaisir lui remplit le visage. Lui avait joui spontanément et avant de se rendormir il me dit demain on recommence…
Le lendemain nous partions langé sur les pistes et avec un change pour l’après midi…
J’aimais ça… les couches et Frédéric m’aimait et aimait se faire plaisir en couche avec moi. Le dernier soir nous allâmes au cinéma voir « Allien 4 » Nous étions langés et au milieu du film j’avais mouillé mon change. Frédéric voulu vérifier et mouilla lui aussi sa couche. Alors que nous rentrions au chalet il s’arrêta à un distributeur de pharmacie et acheta des préservatifs… Jérôme marchait devant et nous demanda « d’ activer les gamins » Nous expliquions que nos couches nous gênaient pour marcher plus vite… il nous demanda si nous n’avions pas honte d’en mettre maintenant si souvent.
Nous avions nettement entamé le deuxième paquet de la semaine et il pensait qu’il lui en resterait. Il nous confia qu’il adorait aussi se branler dans sa couche. Frédéric lui répondit que nous avions appris cela aussi.
En nous couchant nous savions que ce n’était pas fini. Nos couches étaient humides mais nous nous entrelacions sans les changer. Puis Frédéric enroula ses jambes autour de moi. Il me fit comprendre ce que j’avais finalement admis… nous demandions qu’à devenir amant et pousser plus loin la chose… j’ouvrais alors sa couche et glissait la mienne. Il me suça, fit surgir un préservatif et le posa sur mon sexe raide de désir… j’avais toujours la couche sur moi .. ; mon sexe approcha puis frôla son anus… Frédéric s’offrait à un dépucelage et moi je lui offrais le mien. Je jouis rapidement… nous ne disions mots mais commencions à définir le plaisir … lui n’avait pas éjaculé. Il me le fit remarquer. Nous soufflions un peu puis il me fit comprendre que il aimerait lui aussi gouter au plaisir de la possession. Je me livrais ailleurs… il perça la couche humide et trouva avec son sexe fin et droit une zone de plaisir que je ne soupçonnais pas…je jouis une deuxième fois après 10 minutes de va et vient qui était la véritable révélation de cette semaine de ski. J’aimerais définitivement le plaisir en couche et les jeux en couche et entre mec… Frédéric et moi sommes maintenant tous les deux étudiants en fac de droit et toujours amoureux des couches. Nous l’avons d’ailleurs partagé avec d’autres mecs adeptes des couches. Homos et hétéro, daddy ou petits frères.
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