L'ange nommé Valentin ... passe
- Danette
- 10 juin 2020
- 12 min de lecture
Dernière mise à jour : 25 août 2020
Je le savais en venant ici. Il s’est assis à côté de moi. N’importe qui aurait pu prendre sa place. Mais ce fut lui, peut-être était-ce écrit. ? Je m’étais décidé à noyer mes états d’âme dans ce bar. Durant le trajet je croisais une multitude de personnes qui un bouquet de fleurs à la main se rendait tantôt à une terrasse de café, tantôt au détour d’un coin de rue où ils finiraient par rentrer par une porte cochère dans un hôtel particulier retrouver l’être aimé.
Pour ma part il n’y avait pas d’être aimé. J’avais enfilé mon vieux jean, un pull gris chiné mon cuir et avait affronté le froid après m’être aspergé du dernier parfum que ma mère m’avait offert parce que disait-elle le gars de la pub me ressemblait.
Mon jean avait fini de mouler mon petit cul que j’avais déposé dans un slip ouaté et je m’étais machinalement engouffré dans la Ligne de métro 1 fuyant le froid de février là. Elle m’avait emmené directement là. Habituellement je me posais là et même si on me remarquait, je regardais fixement derrière le bar et je faisais roue libre avec mon cerveau en vidant ma bière avant d’en prendre une autre. Je peux rester là plusieurs heures pendant qu’un étrange bal se joue autour de moi. Un public exclusivement masculin mais assez hétéroclite. Ce soir ils doivent peut être un peu plus paumés que d’habitude et c’est pourquoi Brian le serveur leur sourit plus que de coutume. Le petit tondu qui était à ma droite venait de quitter son siège pour terminer son verre à l’étage du bas pour la deuxième fois de la soirée. La première fois il n’avait pas trouvé. Ah j’avais oublié ici ce n’est pas les chiottes qu’on cherche, c’est les autres qui servent de chiottes parce que les vraies chiottes sont toujours occupées ou bien sont hors d’état.
Quand il est revenu pour reprendre sa place, cette fois si Valentin s’y était assis. Je ne crois pas que celui-ci a évalué le regard avide que le petit tondu avait jeté sur sa nuque de vaurien. Valentin l’a ignoré quand il lui a dit « c’était ma place » et c’est pourquoi il l’a bousculé pendant qu’il récupérait le verre de whisky qu’il avait commandé et c’est pourquoi voulant sauver son verre il bascula du siège du bar se rattrapa sur moi et renversa la bière que je n’avais pas finie.
« Excuse-moi… »
Le petit tondu le pris pour lui comme s’il avait gagné son duel puis compris en fait qu’il l’avait perdu car si le duel avait un enjeu la suite de l’histoire le détrompa.
Valentin me proposa de remplacer ma boisson et devant son nez retroussé et ses yeux pétillants, sa bouche retroussée en coin je ne sus me dégager. Et je ne pus. Le contact était établi. Le petit tondu ne profiterait pas plus de mes charmes à 5 centimètres de moi et j’aidais Valentin à regrimper sur ce siège depuis lequel ses jambes ne touchaient pas le sol…Un petit mec comme je les aime.
« Une bière alors… ? »
« Ouais. »
« Moi j’aime pas trop ça. Faut que j’attaque plus fort … »
Il me tape la discute et je ne réponds qu’avec des yep et des nopes. Je ne saisis pas tout ce qu’il dit. Sans doute me parle-t-il du froid qu’il fait dehors, des jeux olympiques dont la descente est annulée. Il connaît Vancouver et tente de me décrire cette ville par le menu. Il me parle d’un gars en luge qui est mort, qu’il était trop jeune pour mourir. Qu’il avait le même âge que lui. Il se commande un autre whisky et je sens que le premier lui a déjà fait tourné les sens. Sa chevelure blonde trempe presque dans son verre. Je lui conseille de passer à la bière pour étancher sa soif. Il me répond qu’il n’a pas soif il a juste envie comme beaucoup ici d’oublier et d’un peu de chaleur humaine. Et puis que ça fait pisser.
Et je ne sais pas ce qu’il m’a pris de lui dire que je n’ai pas ce problème et que j’ai tout prévu.
« Quoi tu ne pisses pas toi ? »
« Non … j’ai pas dit ça… »
« Avec ce froid. Tiens moi j’y vais. Rejoins moi ou garde moi la place »
Et puis quoi encore… et, pourtant je le fais pour éviter que le petit tondu reprenne la place et ne l’assiège. Il me toise et n’insiste pas. Il a de toute façon perdue le trophée. Il va s’en chercher un autre…
Quand il revient il me dit qu’il avait un glaçon dans le slip mais qu’il n’a pas réussi à le faire fondre. Je lui réponds que je préfère quelque chose de plus chaud et voluptueux.
« C’est ce que je te dis je suis chaud… » Je le laisse m’enlacer. Il pose ses mains sur mes hanches, blotti ses mains sous mon pull gris chiné et cherche à les réchauffer. Il caresse l’épaisseur de ma couche sans paraître deviner mon secret. Il tourne autour de moi. C’est à mon tour de payer ma tournée mais je ne peux que lui offrir une bière. Quand je sors comme ça je prends juste un billet de 20 euros sur moi ; de quoi me payer trois bières, pas plus et rentrer. Je ne peux boire plus que de raison ni me faire détrousser dans une black room, le pantalon sur les chevilles.
Pendant que nous continuons sur le thème « pourquoi interdire de fumer dans le bar », je laisse mon lange absorber comme un trop plein et me réchauffer l’entrejambe. A la fin de sa boisson le garçon veut me poser ses lèvres et me faire sentir son haleine chaude des boissons. La façon dont il a tenté de mordiller l’ourlet de ma lèvre inférieure me convint qu’il peut avoir quelques arguments. Je jette un œil et je devine avec les lumières tamisées de quel coté se porte son pic à glace dans le treillis dont il a omis de fermer la fermeture éclair. Mais je ne lui en fais pas la remarque. Il porte à droite et j’ai le cœur à gauche.
Il semble vouloir me faire bouger et rejoindre un des petits boxes prévus dans cet endroit mais il comprend que je ne le suivrais pas là. « je vais rentrer ».
« Mais non …pas déjà »
« Si je suis fatigué et j’ai besoin de mon confort »
La bière fait de l’effet quand j’attrape mon blouson ce qui annonce mon départ. Mais il me suit et attrape sa veste lui aussi…
Que va faire ce garçon s’il s’aperçoit que je suis langé et que j’ai mouillé ma couche, lui qui a 10 ans de moins que moi ?
C’est trop tard, il vient de se jeter sur moi goulûment devant toute la salle qui m’envie de le voir me suivre vers la sortie. Et il plonge sa main dans mon jean… il hésite, me regarde et me lance « me laisse pas là seul avec mon pic à glace…
J’ai honte mais j’ai aimé, l’effet de surprise me provoque l’érection qu’il cherchait et malgré le froid elle ne se calme pas mais ne m’empêche pas de marcher et de rejoindre la bouche de métro. Je ne sais pas ce qu’il a fait. Je ne me retourne que lorsque j’arrive dans le couloir à l’abri du vent qui s’engouffre en un véritable courant d’air.
Je compte jusqu'à 10 sinon je prends la direction de Vincennes pour me pieuter seul. Il a bien nourri ma fantasmagorie mais c’est sans doute dommage d’en rester là. Pas simple même avec l’expérience d’imposer à l’autre ses jeux en couche.
8… je reprends mon souffle
9… .j’ajuste mes lunettes
10… . quelqu’un descend rapidement l’escalier roulant ? je reconnais ses baskets puis il fait un vol plané et tombe à plat ventre au sol. Il est étonné mais ne s’est pas fait mal. Je me dirige vers lui pour le relever. Il me sourit lorsque je me baisse. Il me prend par le cou et me dit « j’ai besoin de toi… »
Nous passons le portillon et dans la confusion je prends l’autre direction. Je m’en rends compte pendant le silence qui est meublé par des regards mêlant vapeur d’alcool et désir. Dans ma couche c’est encore l’émoi et il doit porter un caleçon qui ne plaque pas sa queue a son corps. Nous sommes déjà montés dans le wagon et nous allons jusque Chatelet. Après tout on prendra le RER pour aller jusqu'à chez moi… Un autre gars nous regarde surpris. Est-ce l’ivresse mais il nous dévisage et un instant je songe qu’il est des nôtres et qu’il voudrait bien se joindre à nous. Mais quand Valentin s’approche de moi pour me toucher de nouveau le paquet, le gars se marre et plonge de nouveau dans son journal. Nous nous devons descendre et je calme les ardeurs de valentin.
Nous déambulons dans le métro et je me dois de répondre à ses questions en lui comprimant le doigt sur la bouche pour lui faire comprendre de se taire. « Tu as mouillé ton pantalon ? mais c’est quoi ton slip… »
« C’est une couche, … »
« non ? J’hallucine. La première fois que je rentre dans une boite à cul et je tombe sur un mec qui porte une couche… »
« Tais toi… ou casse toi » lui intime je en lui serrant fort le bras.
« Mais pourquoi tu fais ça ? »
« Pour que tu te la fermes… »
« Non je veux dire pourquoi tu mets une couche… »
« D’abord parce que j’aime ça et ensuite parce que ça me permet de fréquenter ce genre d’endroit sans avoir à me rendre aux pissotières et me faire peloter.. »
« Non mais attend c’est super kiffant. Je savais pas que ça existait, j’en rêve. ! Fais moi voir … montre moi ton joli petit cul et ce que tu as dans ton jean »
« Quoi ici non mais tu es pas bien… ,»
« BAH OU TU VEUX … je te veux »
« Tais-toi je t’ai dit !
« Mais où on va la ?
« Ah premier trait de lucidité. Je ne sais pas toi mais moi je rentre chez moi. »
« … on prend le RER ? »
« Moi oui… » et lui rentre dans le wagon reste à coté de moi et ne dit rien avant que les portes ne se referment »
« Ya que nous dans le wagon fait moi voir … »
« Mais tu as bu avant de venir au bar ou c’est juste 2 whiskys qui te retournent comme ça ? »
« Non c’est toi qui me plait… tu habites où. ?»
« En bout de ligne … »
« waouh c’est loin. Tu vis seul ? »
C’est vrai il a raison il faut que je trouve une parade …
J’envoie un sms à une copine pour lui dire que je ramène quelqu’un à la maison et qu’elle m’appelle dans une heure pour que je lui confirme que tout va bien. Elle a l’habitude de mes plans d’un soir… »
Valentin se tient à carreau, sans doute maintenant un peu sonné par la boisson. Il passe du siège d’en face au siège d’à côté de moi et semble se laisser bercer par le rythme du RER. Au fond du wagon quelques jeunes blacks parlent un peu fort et importunent un couple de personnes d’âge mur. Plus loin un autre couple règle le différend qui semble s’établir.
Valentin incline sa tête sur mon épaule.
Il pourrait s’y endormir et je me demande ce que cela va me donner de revenir avec de la viande saoule.
Terminus. Tout le monde descend et Valentin aussi.
« Mais et toi tu habites ou ? »
« Ah ? A l’opposé à Courbevoie mais j’ai qu’une piaule chez mes parents et ma sœur la squatte avec son copain… en plus il est moche son copain. Je préférais celui d’avant. D’ailleurs c’était un copain du basket et on s’était douché ensemble… je savais qu’il pouvait lui faire plaisir parce qu’il avait ce qu’il faut»
Je me disais encore un qui ne croit à la virilité que par les grosses bites. J’espérais ne pas le décevoir de ce côté là et redoutait qu’il n’ait été leurré par la couche qui fait le paquet proéminent… on arrivait Rue de Paris devant la maison et j’hésitais une dernière fois avant de l’introduire dans ma tanière.
Je le laissais passer devant. Nous étions à l’abri de tous les regards et j’ai bien cru qui allait vouloir tout consommer là sur le pas de porte tant il renouvela ses ardeurs. J’ouvrais la porte précipitamment tant je savais possible que la mère Cohen, la voisine, ne soit derrière son œilleton pour épier. Elle m’avait déjà fait la réflexion sur mes relations un peu bruyantes et volubiles.
Passer le pallier de la porte Valentin était intéressé autant par mon intérieur que par moi. « ya des tableaux et des sculptures partout. »
« Oui c’est des souvenirs de voyages pour la plupart sans réelles valeurs mais des objets que j’aime bien »
« Y’a plein de symbole phallique la dedans … »
« Perspicace mais je ne pensais pas que cela se voyait tant… »
« J’hésitais à lui proposer un verre et je décidais par sortir juste la bouteille de coca et du Schweppes »
« Tu n’as pas plutôt de l’alcool ? »
« Non ,.. ; j’en prends pas chez moi… »
« Ah bon pourquoi ? »
« Bah parce que je le boirais et je ne veux boire que dehors… »
Il s’assit dans le canapé en face de la bonbonne de rhum arrangé mais il ne lui vint pas à l’idée de s’y intéresser. Il s’intéressa plutôt au paquet de couche que j’avais laissé sur la table du salon après m’être équipé pour sortir.
Il manquait des glaçons et je préférais lui commenter mon goût pour les couches sans avoir à le regarder et sans qu’il ne me dévisage. Il resta assis et sorti une couche pour l’examiner. « C’est comme pour les gosses. J’avais presque les mêmes mais il manque les dessins dessus »
« Y’en a avec des dessins mais j’y tiens pas car c’est pas des nounours de gamins… »
« Waouh ça doit être super d’être là-dedans. Maintenant tu peux me faire voir non ? »
« Attends je prends les glaçons, je n’arrive pas à les décoller… »
« Tu ne veux pas mon pic à glace ? » me lâcha t’il quand je fis irruption dans le salon.
Avant que je ne m’assoie il voulait apposer ses mains sur mon cul et sur l’épaisseur de la couche. Il dégagea mon tee-shirt sous le pull et trouva le haut de la couche sur moi. Et là je me laissais faire…
A genou sur le canapé il dégrafa ma ceinture et glissa mon jean pour dévoiler le paquet comprimé dans un boxer près du corps. Puis ce fut moi qui voulu voir son pic à glace. « depuis le temps que tu me le proposes.. ; effectivement il n’a pas l’air d’un glaçon… »
Je le sentais dur mais il ne voulait pas me laisser le manipuler au travers son treillis kaki prétextant que il fallait le goûter et le temps de se passionner. Pas facile pour moi mais il voulait avoir l’ascendant et le fait que je sois en couche l’aidait, l’intriguait. De « à genoux » je me retrouvais allongé à plat ventre avec lui sur moi. Il me dégagea de mon jean et exerça des vas et vient sur ma couche, se frotta, se cambra pour s’y enfoncer. Puis il prit du recul. Pour me toucher le derrière passer par l’entrejambe ses doigts et sentir la ouate chaude et humectée.
Ecoute je me dessape mais je veux profiter de toi donc tu me fais pas jouir tout de suite. Ne me prend pas en bouche ou me touche de façon appuyée sinon je vais exploser…
Le garçon se connaissait, sa jeunesse fougueuse m’inquiétait mais j’étais rassuré l’alcool ne lui inhibait pas ses ardeurs
Pourquoi ne te mettrais tu pas en couche aussi lui répondis je.
Je ne sais pas. Ca m’intrigue… pourquoi pas….ça doit faire une drôle d’impression ...mais alors toi ça m’excite un truc de ouf !
Eh ben tant mieux tout le monde n’aime pas.
Mais je ne suis pas tout le monde…
Il enleva son sweat-shirt et découvrit un ventre en peau de tambour parfaitement tendu sur lequel il y a avait quelques marques… Il s’était sans doute automutilé et s’apercevant qu’il avait le ventre à l’air il le cacha rapidement.
Il me laissa enlever son pantalon de treillis et découvrir un caleçon délavé et troué par endroit. Sur sa cuisse gauche reposait un sexe qui battait au rythme de son désir.
Il resta assis et me laissa faire. Je tirais alors le caleçon le simple passage d’un ongle lui faisait dresser la queue qui perlait. Je passais donc comme il me l’avait demandé la couche entre les jambes sans trop le stimuler. Il se trouva rapidement emmailloté ce que paraissait le surprendre. Mon expérience du lange payait. Il semblait satisfait, un sourire se dessina sur son visage puis un râle de plaisir…
« Non ? Je t’ai fait jouir ? »
« Non ce n’est pas ça, je me retenais mais là je peux plus et je voyais la couche tout juste posée se remplir, son cul se mouillait. Jamais couche ne fut plus vite consommée et le plaisir de Valentin faisait du bien à voir.
« C’est trop bon » La fin de son plaisir et de sa décontraction fut ponctuée par un pet détonnant qui faisait des bulles dans le liquide en cours d’absorption. Nous éclations de rire car nous comprenions d’où venait ce bruitage surprenant. Je posais la main entre ses jambes. L’ouate/cellulose épongeait et je l’avais heureusement bien posée pour ne pas en avoir plein le sofa…
Nous étions tous deux mouillé sur le canapé et n’osions plus bouger. Ce petit frère entreprenant s’était soudainement calmé.
« Veux-tu que je te change ? »
« Ah non je suis trop bien. Prends moi dans tes bras.. »
Je m’approchais de lui. Je l’embrassais et il fermait les yeux.
Donne-moi à boire S’il te plait. J’ai soif… et pas de coca. Je me levais donc pour lui faire goûter mon rhum arrangé avec des prunes et des caramboles du pays… la couche me cambrait le cul autant qu’elle s’y collait. Je lui servais un verre et le rejoins sur la banquette. Lui aussi avait une couche bien près du corps qui se compactait autour de ses formes. La couche blanche se démarquait sur sa peau bien moins velue que moi.
A la fin de ce premier rhum il revint à la charge avec un baiser appuyé. Il voulait un deuxième verre et je lui accordais. Le lit n’était pas loin il suffisait d’actionner le sofa pour se retrouver en position pour dormir.
Mais là n’était pas la question profitant que j’avais la bobonne de rhum en main il plaça sa main sur le derrière de ma couche puis l’entrebâilla glissant sa main par l’entrejambe. Je lui avais donné son verre mais il le posa vite. C’était l’heure de briser la glace par un autre moyen. Valentin fit apparaître clairement sa forme et mon sexe lui aussi pris une place importante dans la couche mouillée. Nous nous frottions l’un sur l’autre jusqu’à ne plus supporter les attaches qui nous séparait de plaisirs plus libre. Il ouvrit alors sa couche et viola la mienne …Nous goûtions aux fruits défendus, l’odeur et les vapeurs du rhum prenaient le dessus.

Après ces jeux d’adultes. Valentin exprima le désir de remettre une couche et de terminer la nuit avec moi. Nous dormîmes enlacés.
Au petit matin, le vaurien avait disparu sans laisser plus de trace qu’un numéro de mobile à neuf chiffres (sans abonné) gravé sur la couche qu’il avait laissé au sol, visiblement usagée…
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