Quand une jeune little hétéro et timide rencontre une lesbienne dominatrice très fine en psychologie, la vie d’une étudiante peut changer du tout au tout. Soumise au plaisir, pourra t’elle s’échapper d’une prison dorée faite de tendresse et d’autorité ?

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Elle a su m’apprivoiser, me permettre d’oser m’avouer que j’aimais bien être petite. Marie me disait qu’il n’y avait pas de mal à revenir à sa prime jeunesse pour en savourer les douceurs dans ce monde si dur, si ingrat. Lors de nos longues conversations virtuelles sur Fessestivites, j’ai fini par lui avouer que j’aimais boire au biberon comme quand j’étais petite. Elle a percé ma carapace d’étudiante rebelle en me poussant à lui parler de ma tétine.
Telle une psy, elle a su avec douceur me pousser dans une analyse sur ce que je ressentais avec ma tétine, ce qu’elle représentait pour moi. Elle m’apaise. Quand je la tète, oui c’est vrai, je suis dans un autre monde. J’ai l’impression de diminuer en taille, de régresser, je me retrouve mentalement dans les bras protecteurs de ma mère où plus rien ne peut m’arriver.
Nous avons aussi parlé des couches, je n’en mets pas souvent. Je les ai redécouvertes avec mes ragnagnas. J’avais acheté les nouvelles Pant Tena Lady Silhouette taille basse avec leur jolis dessins de fleur. Elles sont discrètes, légères, douces et rassurantes. Quand elle m’a demandée si je les utilisais pour de petits pipis, j’ai commencé par lui mentir et répondre « non ». Marie ne m’a pas crue. Elle m’a seulement guidée pendant nos conversations sur les petites fuites urinaires en me demandant si j’avais apprécié de sentir la douce chaleur qui vient envelopper l’intimité à ce moment là. Je lui ai avoué que ce n’était pas désagréable.
« Espèce de garce, pourquoi vouloir me cacher que parfois tu aimes bien, te laisser aller à ce petit plaisir » ? M’a demandée Marie. Je lui ai répondu que c’était par pudeur, que j’avais honte d’en parler. Quand je me suis excusée d’avoir menti, elle m’a répondu que cela mériterait une fessée sur ses genoux comme une gamine. Cela m’a fait rire, et, tout en me titillant sur le fait que mentir ce n’est pas beau, elle m’a demandée de fermer les yeux et de m’imaginer couchée fesses à l’air sur ses genoux.
Marie me racontait la fessée qu’elle me donnait virtuellement, les sensations que j’éprouvais puis le câlin qu’elle me ferait après. Elle me racontait des images par téléphone. « Tu es maintenant blottie sur mes genoux, la tête appuyée contre ma poitrine, je te donne ta tétine et te berce à présent avec amour. Tu sens mes bras qui t’entourent et te protègent. Petit à petit tu t’endors contre moi, tu te laisses aller comme une little rassurée, apaisée. Mes doux baisers t’accompagnent dans cette léthargie qui s’installe lentement ».
Voilà un exemple de ce que me racontait Marie au téléphone quand nous avons décidé de se parler autrement que par messagerie. Elle me faisait fondre, même si je la savais lesbienne et dominatrice. Nos discussions devenaient mon havre de paix du soir avant que je me replonge dans mes études.
De fils en aiguille, l’envie de la rencontrer en vrai m’est venue, cela s’est fait en juillet après les examens. Lorsque je l’ai vue, j’ai vue une fée. Grande, cheveux longs châtain clair, un visage d’ange, des yeux bleus turquoise, mince sans être maigre, elle était magnifique dans sa robe d’été mi-longue. Pour une timide comme moi, discuter autour d’une table est plus difficile que par messagerie ou téléphone. Son ascendant sur moi ne m’écrasait pas, il me domptait, me rassurait. Avec elle c’était comme si rien ne pouvait m’arriver tant elle était sûre d’elle.
Lorsqu’elle m’a proposée que l’on dîne ensemble, j’ai aussitôt accepté. La queue devant les restaurants balnéaires ne nous amusait pas, tout comme le volume sonore. Les gens qui crient à table, les gamins qui hurlent ne créent pas une ambiance propice à la confidence. « Allons chez moi, j’ai de quoi nous faire un petit repas entre filles, ce sera bien mieux qu’ici » a décidé Marie. Je lui ai proposé de prendre un truc chez le traiteur, elle a décliné cette proposition, en me disant « la prochaine fois ».
Pendant le trajet, je me suis sentie toute petite dans sa grosse Mercedes et plus encore quand nous sommes arrivées chez elle. Marie est propriétaire d’une grande maison avec piscine et un petit parc. Tout y est au carré, pas une herbe ne dépasse sur les allées. Avec son téléphone, elle a retiré l’alarme, ouvert les volets et mis le four à chauffer avant même que nous soyons entrées. Arrivées dans sa cuisine, elle a mis un plat au four et nous a servi à boire pendant que je tirais les chaises sur la terrasse. A son arrivée j’ai souri, elle m’avait fait un biberon avec un vin blanc ultra doux. « C’est pour la petite puce » m’a dit Marie avant d’ajouter qu’ici je pouvais être moi et me laisser aller. Les discussions se sont prolongées, j’ai bu plusieurs biberons.
Pour ne pas nous faire dévorer par les moustiques, nous avons dîner à l’intérieur. Son rôti de canard farci aux champignons forestiers était une tuerie. Comme le vin blanc n’allait pas avec son plat, elle m’a fait un bibi avec un sublime vin rouge dont j’ai oublié le nom. A la fin du repas, j’étais un peu pompette et ultra décontractée. Si bien que quand elle m’a proposée de dormir chez elle, plutôt que de rentrer en taxi puisqu’elle ne pouvait plus prendre le volant à cause de l’apéro, j’ai accepté.
Après le repas, elle m’a demandée comme une faveur l’autorisation de me donner mon dernier biberon comme dans les histoires que nous avions par téléphone. Elle m’a demandée ça en me disant que cela lui ferait un immense plaisir, je ne pouvais pas lui refuser, et pour tout dire, l’idée m’a beaucoup plue. Pour fêter ça, elle a ouvert une bouteille de champagne !
Lovée dans ses bras sur le canapé, la tête contre sa poitrine généreuse mais ferme, j’étais sur un nuage. Le biberon est descendu tout seul, surtout qu’il était accompagné de caresses sur mon visage, comme le fait une maman à son bébé. Je planais totalement quand elle m’a guidée jusqu’à sa chambre pour que nous allions nous coucher. Quand j’ai demandé à aller aux toilettes, elle a refusé en me disant que de toutes les façons, avec ce que j’avais bu, soit je dormais dans la baignoire, soit elle me mettait en couche.
Un peu ivre, j’ai rigolé en pensant que c’était de l’humour. Non, elle était sérieuse ! Elle ne m’a pas laissée le choix, et dans l’état où j’étais, je ne me suis pas sentie de refuser. Son piège à petit coeur s’est refermé sur moi quand, après m’avoir mise en couche, elle m’a passée une chemise de nuit de Belle et la Bête de Disney. Je me laissais faire comme une poupée de chiffon sans aucune pudeur, après tout, nous étions entre filles.
Une fois couchées, elle m’a prise dans ses bras pour un gros câlin. Marie a dévoré mon visage de bisous, sa bouche a touché la mienne « comme par accident » puis les choses se sont enchaînées. Un bisou en appelle un autre, nous avons commencé à nous embrasser avec une certaine passion. Quand sa main a commencé à venir titiller mes tétons à travers la chemise de nuit, je ne me suis pas sentie de fuir, c’était trop bon.
Le seul bémol était que j’avais toujours envie de faire pipi. Marie m’a dit que j’avais qu’à faire dans la couche, que je n’avais pas le droit de casser les câlins pour ça. Elle a continué de me manger de bisou mais en s’allongeant sur moi. « OUF ma vessie, s’il te plait » elle ne m’a pas laissée en dire pus et m’a à nouveau embrassée. Quand ses lèvres se sont attaquées au creux de mes épaules, j’ai su que j’étais obligée de craquer. Prise de frissons, sous ses caresses et ses bisous je n’ai pas eu d’autres choix que d’ouvrir les vannes. C’est ainsi que j’ai fait mon vrai premier gros pipi dans une grosse couche. C’est aussi ainsi que j’ai découvert que c’était vraiment bon, surtout sous des caresses et des bisous.
Les sensations étaient tellement fortes que j’ai cru que j’allais jouir. Je la serrais très fort dans mes bras comme si ma vie en dépendait. Epuisée de tant d’émotions, je l’ai laissée faire quand elle a remonté ma chemise de nuit pour venir caresser mes seins et dévorer mes tétons avec l’expertise d’une femme lesbienne. Marie a plongé sa main dans ma couche, et quand j’ai voulu dire « non » sa bouche a bâillonné la mienne en même temps qu’elle s’attaquait à mon petit bouton. Soumise et presque prisonnière de toutes ces voluptés que je ne pouvais fuir, je me suis abandonnée. Elle prenait possession de mon « moi » intime, entre ses mains, je devenais poupée. Elle pouvait tout se permettre, j’étais incapable de refuser quoi que ce soit.
Et elle a tout pris.
Elle a ouvert la couche, dévoré mon bouton d’amour, exploré mes orifices en m’arrachant des jouissances de folie. Je jouissais comme je n’avais jamais joui avec un garçon. Marie mêlait douceur et fermeté pour me dompter totalement par le plaisir. Je n’aurai jamais imaginé qu’être la chose d’une femme pouvait être aussi bon. Privée de toute énergie, lorsqu’elle a décidé d’abandonner sa proie, elle m’a remis une couche propre et une culotte en plastique avec des motifs avant de me couvrir. Contre sa poitrine nue j’ai trouvé le sommeil quasiment de suite avec une tétine dans la bouche. Mon dieu que j’étais bien.
Réveil câlin
Une tétine essayait de se faufiler entre mes lèvres.
Une main caressait mon visage.
Une jambes appuyait sur mon ventre et m’empêchait de me lever pour aller faire pipi.
Sur le coup, j’ai cru que je rêvais, mais lorsque j’ai fini par ouvrir les yeux, un visage d’ange m’est apparu. Marie me souriait, alors j’ai ouvert la bouche pour prendre un biberon de lait chocolaté. Entre deux gorgées, je lui ai dit « pipi » elle m’a répondu « coucouche et après le bibi gros câlins douillés au chaud, pourquoi se lever pour si peu ». Domptée par tant de douceur, et peut-être aussi parce que la nuit avait été courte, j’ai à nouveau ouvert les vannes de ma vessie. Oh que c’était bon.
Le biberon terminé, Marie s’est allongée contre moi sous la couette d’été, puis m’a prise dans ses bras pour un gros câlin. Pendant qu’elle me perçait, elle m’a racontée une histoire de princesse qui sait parler avec les animaux. Je ne la connaissais pas, elle était amusante, avec de l’intrigue mais sans jamais faire peur. J’étais trop bien et, sans rien lui dire, j’ai refais un deuxième petit pipi. Ce n’est qu’une heure plus tard qu’il a vraiment fallu que je me lève pour aller aux toilettes. Le charme s’est rompu, une bouffée de honte rétrospective montait incendier mes joues, j’étais horriblement gênée. J’en ai parlé à Marie, ma psy de circonstance.
- Honte de quoi ? D’avoir été heureuse ? D’avoir pris du plaisir ? D’avoir beaucoup joui ? De t’être abandonnée ? Il n’y a pas à avoir honte d’avoir été heureuse dans les bras d’une fille. Si non, les mecs devraient avoir aussi honte non ? Une fille c’est différent, elle peut être ouverte aux hommes et aux femmes sans que son vernis social en soit affecté. Au contraire, les hommes en rêvent. Ils rêvent de voir cette immense douceur que les femmes peuvent se donner entre elles. Les femmes qui n’osent pas goûter aux plaisirs saphiques ne savent pas ce qu’elles perdent. Avoue que tu as aimé cette nuit ?
- Oui, c’était pffff, je ne sais même pas le décrire. Je dirai magique pour résumer.
- Avoue aussi que de pouvoir t’abandonner comme une toute petite fille encore pas propre ne t’a pas déplus !
- J’avoue que.... mais tu es perverse toi, tu sembles tout connaître de mes sensations.
- Tout non, mais je suis une femme et qui peut mieux comprendre une femme qu’une autre femme ?
- C’est vrai.
- Je sais autre chose aussi sur toi, mais tu auras plus de mal à l’accepter mentalement.
- A bon c’est quoi ?
- A ta façon de réagir hier soir pendant les câlins, je sais que tu as l’âme d’une soumise et que tu préfères t’abandonner que décider. Tu as aimé être ma chose cette nuit ! Avoue-le au moins dans ta tête si tu n’oses me l’avouer.
- J’avais un peu trop bu hier soir !
- Ce n’est pas une excuse. Tu n’avais pas trop bu pour écarter les jambes et jouir quand tu ne te cambrais pas à certains moments, pour mieux t’offrir à mes doigts. Tu étais encore très lucide pour pousser mes doigts en toi y compris dans ton petit derrière.....
- J’ai honte !
- La honte fait partie du plaisir et si tu me le dis encore une fois, je vais te donner une fessée ! Assez discuté, à la douche.
La douche s’est avérée être un bain, un bain câlin. Marie a continué à tout diriger, à priori, sans jamais imaginer que je puisse refuser. Elle m’a lavée avec beaucoup d’amour avant de me rejoindre dans l’immense baignoire deux places. De câlins en câlins, nos bouches se sont à nouveau rejointes et cette fois, je n’avais bu que du lait chocolaté. Elle avait raison, ce n’est pas la boisson qui m’avait faite chavirer. J’étais comme envoûtée, attirée malgré moi par une femme.
Lorsque nous sommes sorties du bain, elle m’a plaquée contre le mur froid en m’ordonnant de ne pas bouger. Sa langue et sa bouche sont devenues serviette. Elles aspiraient ou léchaient les gouttes, et encore une fois, prise dans la tourmente des sensations et des émotions, je me suis laissée faire.
Brusquement, ses doigts se sont saisi du bout de mes seins comme si elle devenait un rapace se jetant sur sa proie. Je frissonnais. Elle alternait baisers, caresses et tourments. Ses ongles griffaient ma peau. Ses mains pétrissent mes chairs sans ménagement plus qu'ils ne les caressaient. Elle les écrasais, les aplatissais comme de la pâte. Elle s’est mise à les soulever et les tirer le plus haut possibles par les tétons et les laisser retomber de tout leur poids à plusieurs reprises. j’étais prise en tenaille entre tes ongles, ses doigts triturant mes mamelons, les pinçant, les tordant fortement, elle jouait avec moi. La douleur se mêlait au plaisir, je ne comprenais pas ce qu’il m’arrivait. J’avais mal mais j’avais envie d’encore.
Marie m’a abandonnée un instant pour revenir avec un collier et des bracelets. J’ai dit « non », elle ne m’a pas écoutée et m’a juste répondue, « laisse-moi t’aider à te découvrir ». Après m’avoir posé le collier elle a attaché mes mains, derrière ma nuque plus haut possible en m'obligeant à bomber la poitrine et projeter mes seins en avant puis me cambrer au maximum.
Elle m’a dit « avance petite garce je vais te révéler qui tu es ». Marie m’a guidée dans une pièce aménagée en donjon. Elle m’a faite monter sur un banc à fesser où elle a fixé mes jambes. J’avais peur de ce monde à la fois étrange et fascinant. Elle a commencé à me fesser doucement avec sa main en me disant de me concentrer sur les fourmillements et non pas sur la douleur. La fessée a duré longtemps, j’avais effectivement comme des fourmis dans les fesses. Soudain, elle a planté deux doigts dans ma chatte pour venir me faire constater qu’ils étaient trempés en me disant « voilà une première preuve que tu es soumise ». J’ai eu horriblement honte.
Et puis elle s’est attaquée à mes orifices sans tenir compte de mes réfutations. Elle a eu raison. Au début, j’ai été très gênée qu’elle joue ainsi avec mon sexe et surtout mon anus. Cette honte n’a pas duré, l’experte en plaisir sadique m’a emmenée à crier « oui encore ». Elle a joué avec mes sensations physiques, mes orifices qu’elle visitait tout en me mettant un truc infernal qui vibre sur le clitoris. J’ai du jouir 15 fois au moins en un temps record entre les mains de cet ange devenu démon.
Lorsqu’elle m’a libérée du banc, j’étais une loque humaine. Sans tenir compte de l’image que cela pouvait me donner de moi, elle a accroché une laisse à mon collier pour me reconduire dans sa chambre. Couchée sur le dos, j’ai encore du écarter les jambes et la laisser me passer une crème apaisante. Elle a relevé mes jambes en l’air comme si j’étais vraiment un bébé et en a mis aussi sur mes fesses. Marie m’a ensuite mis une couche et une culotte en plastique à motif en me disant « maintenant tu redeviens un bébé ».
Le collier et les menottes retirés, elle m’a enfilé un body Disney puis couchée en me disant qu’il fallait que je fasse une petite sieste. Dans l’état où j’étais, que ce soit le matin ne me posait aucun problème. Elle a fermé les volets, m’a donnée un petit biberon d’eau et fait un gros câlin en me donnant une tétine. Je me suis endormie en un temps record.
Il était 13 heures quand elle est venue me réveiller avec un nouveau biberon de lait chocolaté. Je ne sais pas ce qu’il m’a pris mais j’ai eu envie de lui dire « je t’aime ». Marie m’a juste sourie et fait un clin d’oeil.
Je me souviens du monstrueux sentiment de tristesse que j’ai eu quand elle m’a dit qu’elle avait un avion à prendre et qu’elle devait partir. Je lui ai demandé si je pourrai revenir, elle m’a répondue qu’elle y comptait bien puis m’a indiquée que j’avais un message privé à lire quand je serai rentrée chez moi. Marie est partie en me faisant confiance et en me laissant chez elle. Je devais juste lui envoyer un texto quand je quitterai les lieux afin qu’elle puisse tout fermer et mettre l’alarme via son téléphone. Elle m’a dit que je pouvais profiter de la piscine et partir quand je voulais, c’est ce que j’ai fait.
Je suis rentrée à pieds par la plage pour respirer un peu et réfléchir ce que j’avais vécu. J’étais très perturbée par tout ça, par le fait de m’être vraiment retrouvée en bébé, par le fait que j’étais d’après elle une soumise. Arrivée chez moi, j’ai aussitôt allumé mon ordinateur pour regarder son message privé.
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Ma puce,
J’espère que tu as réellement apprécié notre rencontre et toutes ces expériences.
Je dois avouer que tu me plais beaucoup. Personnellement j’aimerai que tu deviennes ma soumise, soumise de coeur, soumise sexuelle, mon bébé et ma little.
Oui, tout ça. Je suis polyvalente et surtout très gourmande de tous les plaisirs que la vie nous offre.
Si tu acceptes, je serai la garante de ta sécurité et de ta santé. Tu jouiras beaucoup, c’est certain, mais il y a des fois où ce que je t’imposerai sera peut-être dur pour toi.
Avec moi, c’est tout ou rien, à toi de voir ce que tu décides.
S’il te plait, dis-moi oui.
Bisous
Marie
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EPILOGUE
J’ai dit oui ! Oui à cette nouvelle vie que je pensais pouvoir casser si besoin était. Une fois dans ses filets je n’ai jamais pu en sortir, j’étais entourée de murs de bonheur.
Là où les choses se sont vite corsées, c’est que j’ai du venir vivre chez elle. Ce n’est pas que la maison ne soit pas agréable, non, c’est qu’elle a tenu à prendre le contrôle de mes études. Marie tenait à ce que notre vie privée ne les gâche pas. Lorsque mes résultats n’étaient pas à la hauteur de ses espérances, j’ai souffert physiquement et mentalement. Marie peut être aussi douce, gentille, experte en jouissance, que sadique et perverse quand elle punit.
Pour me faire plaisir, elle a fait emménager une des chambres de sa maison en nurserie. Les hommes ne me manquent pas. Marie est devenu ma maman, mon amante, ma nurse, ma maîtresse. Il n’y a plus la place pour eux dans ma vie.
FIN
TSM
Cette histoire est totalement fictive et une pure fiction. Toute ressemblance avec des personnes existantes ou ayant existées ou n’existant pas encore est purement fortuite.
Je vous encourage à déposer les histoires diverses et variées du monde ABDL